Visite du laboratoire départemental
Un atout méconnu des éleveurs
Le Conseil général de Côte d'Or a proposé, en début de semaine, la visite du laboratoire départemental dont il a le rôle de gestionnaire. Les représentants de la FDSEA, du GDS et de la Chambre d'agriculture se disent étonnés et fiers de la performance et de la réactivité de cet outil.

Situé rue Hoche à Dijon, à quelques pas de la gare, le laboratoire départemental de la Côte d'Or fait partie des dix laboratoires les plus importants de France. Il veille notamment à la bonne qualité des productions animales. Les analyses vétérinaires font partie de son quotidien (en plus de l'analyse des eaux et des aliments). Ce laboratoire emploie plus d'une centaine de personnes. Il intervient auprès des éleveurs et des vétérinaires pour les aider dans leurs diagnostics. Il intervient également auprès des abattoirs pour garantir la qualité des carcasses qui entreront dans la chaine de transformation.
[INTER]Actualité très «tuberculose»[inter]
Une des fonctions du laboratoire est la recherche des maladies chez les animaux. Quatre secteurs composent cette fonction dont celui de l'immunologie. Dans le cadre de la lutte contre la tuberculose, une analyse est de plus en plus demandée : le dosage de l'interféron. C'est d'ailleurs cette technique qui a permis d'obtenir la mise en place de l'abattage partiel. Il n'y avait que quelques analyses à titre expérimental en 2007, alors que son nombre va dépasser les 10 000 unités cette année. Cette technique a été développée avec le concours de l'Afssa et du laboratoire départemental de la Dordogne. En biologie moléculaire, le laboratoire intervient également en tuberculose et notamment sur la faune sauvage. Plus de 1000 PCR mycobactériennes Bovis ont été réalisées cette année. Le laboratoire côte d'orien est le premier a avoir dépisté les premiers cas français de tuberculose sur blaireaux. Cet établissement de 3200m2 s'occupe également d'autopsie, de parasitologie et de virologie dans sa partie vétérinaire.
[INTER]Satisfactions unanimes[inter]
Fabrice Faivre, président de la FDSEA, et Dominique Guyon, vice-président de la Chambre d'agriculture, ont salué les outils [I]«fantastiques»[i] présents dans ce laboratoire. Pascal Martens a fait remarquer l'[I]«importante prise en compte»[i] des demandes techniques du monde agricole. Le président du GDS a ajouté qu'un tel outil à la pointe du progrès était un atout indéniable pour les éleveurs pour [I]«lutter contre les maladies actuelles et futures».[i] Pierre Aubert, directeur départemental de la protection des populations, notait le «maximum de garanties» apportées par ce laboratoire : [I]«le niveau maximal de sécurité est atteint» commentait le directeur de la DDPP. De son côté, François Sauvadet a tenu à lancer un «appel à la filière»[i] : le président du Conseil général a rappelé qu'il n'y avait [I]«pas plus sûr que la Côte d'Or»[i] en ce qui concerne le
sanitaire.
[INTER]Actualité très «tuberculose»[inter]
Une des fonctions du laboratoire est la recherche des maladies chez les animaux. Quatre secteurs composent cette fonction dont celui de l'immunologie. Dans le cadre de la lutte contre la tuberculose, une analyse est de plus en plus demandée : le dosage de l'interféron. C'est d'ailleurs cette technique qui a permis d'obtenir la mise en place de l'abattage partiel. Il n'y avait que quelques analyses à titre expérimental en 2007, alors que son nombre va dépasser les 10 000 unités cette année. Cette technique a été développée avec le concours de l'Afssa et du laboratoire départemental de la Dordogne. En biologie moléculaire, le laboratoire intervient également en tuberculose et notamment sur la faune sauvage. Plus de 1000 PCR mycobactériennes Bovis ont été réalisées cette année. Le laboratoire côte d'orien est le premier a avoir dépisté les premiers cas français de tuberculose sur blaireaux. Cet établissement de 3200m2 s'occupe également d'autopsie, de parasitologie et de virologie dans sa partie vétérinaire.
[INTER]Satisfactions unanimes[inter]
Fabrice Faivre, président de la FDSEA, et Dominique Guyon, vice-président de la Chambre d'agriculture, ont salué les outils [I]«fantastiques»[i] présents dans ce laboratoire. Pascal Martens a fait remarquer l'[I]«importante prise en compte»[i] des demandes techniques du monde agricole. Le président du GDS a ajouté qu'un tel outil à la pointe du progrès était un atout indéniable pour les éleveurs pour [I]«lutter contre les maladies actuelles et futures».[i] Pierre Aubert, directeur départemental de la protection des populations, notait le «maximum de garanties» apportées par ce laboratoire : [I]«le niveau maximal de sécurité est atteint» commentait le directeur de la DDPP. De son côté, François Sauvadet a tenu à lancer un «appel à la filière»[i] : le président du Conseil général a rappelé qu'il n'y avait [I]«pas plus sûr que la Côte d'Or»[i] en ce qui concerne le
sanitaire.