Salon de l’agriculture
Trait Auxois : mieux vaut tard que jamais
Yves Berthiot, éleveur à Diancey dans le canton de Liernais, participait à son tout premier Salon de l’agriculture en tant qu’exposant.

Ce Côte d’orien de 58 ans s’est distingué avec la jument la plus lourde du Sia (1086 kg).
Les questions relatives au gabarit de l’animal revenaient d’ailleurs très souvent : «C’est ce qui a l’air d’intéresser le plus les Parisiens... Ils s’interrogent aussi sur ses différentes fonctions. Je leur ai parlé du labour des vignes, des balades en calèches et du débardage de bois. Pour moi, les chevaux sont avant tout une passion. L’essentiel de ma production reste les bovins et les ovins. Mes impressions pour cette première participation ? C’est très sympa, il y a une belle ambiance entre éleveurs. L’organisation est très bonne : nous dormons sur place, il y a une cantine et une salle de repos. Sinon, j’ai un peu l’habitude de présenter des bovins en concours, donc ça ne me change trop. Le plus dur n’est pas de venir ici, mais plutôt de laisser mon épouse Isabelle et mon fils Olivier travailler à la ferme pendant que je suis là!»
Jean-Paul Bureau, président de l’union nationale du cheval Trait Auxois, se satisfaisait de la participation de six élevages bourguignons à ce concours, dont deux de Côte d’Or avec une jument d’Arnaud Dupaquier de Posanges, dans le canton de Vitteaux : «tous ces animaux ont été sélectionnés dans les différents concours locaux et au Spécial de Semur. Il est important de nous montrer. Les chevaux de trait font partie de la biodiversité de notre pays et la Côte d’Or a la chance d’avoir une race qui porte le nom de l’un de ses terroirs. Je me réjouis de la présence de plusieurs jeunes éleveurs : ils nous permettent d’avoir des garanties sur la pérennité de notre race».
Les questions relatives au gabarit de l’animal revenaient d’ailleurs très souvent : «C’est ce qui a l’air d’intéresser le plus les Parisiens... Ils s’interrogent aussi sur ses différentes fonctions. Je leur ai parlé du labour des vignes, des balades en calèches et du débardage de bois. Pour moi, les chevaux sont avant tout une passion. L’essentiel de ma production reste les bovins et les ovins. Mes impressions pour cette première participation ? C’est très sympa, il y a une belle ambiance entre éleveurs. L’organisation est très bonne : nous dormons sur place, il y a une cantine et une salle de repos. Sinon, j’ai un peu l’habitude de présenter des bovins en concours, donc ça ne me change trop. Le plus dur n’est pas de venir ici, mais plutôt de laisser mon épouse Isabelle et mon fils Olivier travailler à la ferme pendant que je suis là!»
Jean-Paul Bureau, président de l’union nationale du cheval Trait Auxois, se satisfaisait de la participation de six élevages bourguignons à ce concours, dont deux de Côte d’Or avec une jument d’Arnaud Dupaquier de Posanges, dans le canton de Vitteaux : «tous ces animaux ont été sélectionnés dans les différents concours locaux et au Spécial de Semur. Il est important de nous montrer. Les chevaux de trait font partie de la biodiversité de notre pays et la Côte d’Or a la chance d’avoir une race qui porte le nom de l’un de ses terroirs. Je me réjouis de la présence de plusieurs jeunes éleveurs : ils nous permettent d’avoir des garanties sur la pérennité de notre race».