Semur-en-Auxois
Toute une ville derrière l’élevage
Le concours charolais semurois s’est déroulé en présence de nombreux éleveurs, spectateurs et partenaires de l’évènement.

Deux cent quarante bovins, propriétés de 36 élevages, avaient pris place sous le hall de l’agriculture de Semur-en-Auxois jeudi et vendredi derniers. Les organisateurs, avec Jean-Luc Baudot à leur tête, ont tenu à saluer la belle fréquentation de cette manifestation malgré un temps neigeux. Preuve de l’intérêt de toute une ville pour son grand concours charolais, de nombreux visiteurs locaux, issus d’horizons divers (âge, profession...), sont venus contempler les plus beaux bovins du département. Le président du comité d’agriculture dressait son analyse: [I]«Il y n’a quasiment pas eu de désistements au niveau des éleveurs, c’est une satisfaction. Nous avons dépassé la barre des 500 repas servis sur l’ensemble des deux journées. Nos partenaires nous ont encore témoigné leur énorme soutien en nous aidant financièrement et en prenant part à l’évènement. Avec tous ces éléments, ce fut logiquement une très belle édition !»[i]
Concernant l’aspect commercial, quinze reproducteurs ont été vendus. [I]«C’est moyen par rapport à une très bonne année où nous en vendons 25. Mais cette tendance est générale, c’est le contexte qui veut ça»[i] note Jean-Luc Baudot. La réforme de la Politique agricole commune était au centre des débats lors de la visite officielle. [I]«Cette Pac inquiète tout le monde. Les calculs sont aujourd’hui difficiles et personnellement, j’attends de voir ce qu’il va vraiment se passer. Une chose est sûre : il faut vraiment un plan de sauvetage de l’élevage»[i] termine le président du comité.
Concernant l’aspect commercial, quinze reproducteurs ont été vendus. [I]«C’est moyen par rapport à une très bonne année où nous en vendons 25. Mais cette tendance est générale, c’est le contexte qui veut ça»[i] note Jean-Luc Baudot. La réforme de la Politique agricole commune était au centre des débats lors de la visite officielle. [I]«Cette Pac inquiète tout le monde. Les calculs sont aujourd’hui difficiles et personnellement, j’attends de voir ce qu’il va vraiment se passer. Une chose est sûre : il faut vraiment un plan de sauvetage de l’élevage»[i] termine le président du comité.