Apprentissage
Tous mobilisés pour la rentrée 2015
Le 11 juin dernier le préfet de Région et le président du Conseil régional ont invité les acteurs économiques du département à prendre connaissance des dernières dispositions prises dans le cadre du plan national de mobilisation en faveur de l’apprentissage. Plusieurs contrats ont été signés à cette occasion, dont trois concernant directement l’agriculture.

des jeunes qu’à celles des entreprises en recherche de personnels qualifiés.
Pour relayer en région, le plan de mobilisation national en faveur de l’apprentissage, le préfet de Région, le président du Conseil régional et l’ensemble des partenaires concernés se sont retrouvés dans les locaux de l’entreprise TSPC Colette, à Longvic, pour signer une quinzaine de contrats d’apprentissage. Le plan déployé par le gouvernement vise à atteindre, à l’horizon 2017, le chiffre des 500 000 apprentis.
La réunion, qui a vu la signature d’une quinzaine de contrats d’apprentissage, a laissé une large place à la parole des employeurs et des futures apprentis. Eric Delzant, préfet de la Région Bourgogne et François Patriat, président de la Région, ont détaillé les mesures du plan gouvernemental (voir encadré). La Chambre d’agriculture de Côte d’Or, aux côtés de la Chambre des métiers et de l’artisanat et de la Chambre de commerce et d’industrie, s’est associée à ce coup de pouce donné à l’apprentissage. Trois contrats ont été signés, dans trois secteurs d’activité agricole, pour des jeunes qui entreront en apprentissage à la rentrée 2015, dans trois organismes de formation différents.
- La viticulture : représentée par le domaine Marchand-Grillot à Gevrey Chambertin qui signe avec un apprenti Bac+5 qui va préparé un BTS viticulture-œnologie en un an au CFA de Beaune.
- Les travaux paysagers : la jeune entreprise «Côte paysages», installée à Ruffey les Beaune, propose un contrat de trois ans, à un jeune titulaire d’un CAP, qui va préparer un Bac pro au CFA de Quetigny.
- Les grandes cultures : le Gaec de la Butte à Saulx-le-Duc, signe un contrat avec un jeune qui va préparer un bac pro grandes cultures à la MFR de Quetigny.
Futurs employeurs et futurs apprentis ont eu le loisir de s’exprimer sur les avantages d’un dispositif qualifié de «gagnant-gagnant». François Patriat a distingué pour sa part l’apprentissage comme «la voie de la réussite», en s’appuyant sur le fait que 70% des apprentis trouvent un emploi, dans les six mois qui suivent la fin de leur formation. Pour les secteurs qui peinent à recruter, comme celui de l’entreprise TSPC Colette, l’apprentissage représente même «une aubaine», la voie à privilégier pour la formation d’une main d’œuvre qualifiée.
La réunion, qui a vu la signature d’une quinzaine de contrats d’apprentissage, a laissé une large place à la parole des employeurs et des futures apprentis. Eric Delzant, préfet de la Région Bourgogne et François Patriat, président de la Région, ont détaillé les mesures du plan gouvernemental (voir encadré). La Chambre d’agriculture de Côte d’Or, aux côtés de la Chambre des métiers et de l’artisanat et de la Chambre de commerce et d’industrie, s’est associée à ce coup de pouce donné à l’apprentissage. Trois contrats ont été signés, dans trois secteurs d’activité agricole, pour des jeunes qui entreront en apprentissage à la rentrée 2015, dans trois organismes de formation différents.
- La viticulture : représentée par le domaine Marchand-Grillot à Gevrey Chambertin qui signe avec un apprenti Bac+5 qui va préparé un BTS viticulture-œnologie en un an au CFA de Beaune.
- Les travaux paysagers : la jeune entreprise «Côte paysages», installée à Ruffey les Beaune, propose un contrat de trois ans, à un jeune titulaire d’un CAP, qui va préparer un Bac pro au CFA de Quetigny.
- Les grandes cultures : le Gaec de la Butte à Saulx-le-Duc, signe un contrat avec un jeune qui va préparer un bac pro grandes cultures à la MFR de Quetigny.
Futurs employeurs et futurs apprentis ont eu le loisir de s’exprimer sur les avantages d’un dispositif qualifié de «gagnant-gagnant». François Patriat a distingué pour sa part l’apprentissage comme «la voie de la réussite», en s’appuyant sur le fait que 70% des apprentis trouvent un emploi, dans les six mois qui suivent la fin de leur formation. Pour les secteurs qui peinent à recruter, comme celui de l’entreprise TSPC Colette, l’apprentissage représente même «une aubaine», la voie à privilégier pour la formation d’une main d’œuvre qualifiée.
Des aides financières rénovées et des formalités simplifiées
Mise en place d’une aide TPE jeune apprenti qui assure de fait la gratuité du contrat d’apprentissage la première année pour les entreprises de moins de 11 salariés qui recrutent un jeune de moins de dix-huit ans.
Versement d’une aide au recrutement d’un premier apprenti ou d’un apprenti supplémentaire dans les entreprises de moins de 250 salariés
Crédit d’impôt apprentissage maintenu pour la première année de formation, sous réserve que le jeune prépare un diplôme de niveau de niveau III ou inférieur (BTS, DUT, bac, Cap)
Simplification des démarches pour les entreprises et les jeunes. En particulier, simplification des modalités pour de déroger à des travaux interdits pour les jeunes de plus de 15 ans et de moins de 18 ans.
Versement d’une aide au recrutement d’un premier apprenti ou d’un apprenti supplémentaire dans les entreprises de moins de 250 salariés
Crédit d’impôt apprentissage maintenu pour la première année de formation, sous réserve que le jeune prépare un diplôme de niveau de niveau III ou inférieur (BTS, DUT, bac, Cap)
Simplification des démarches pour les entreprises et les jeunes. En particulier, simplification des modalités pour de déroger à des travaux interdits pour les jeunes de plus de 15 ans et de moins de 18 ans.