Bovins allaitants
Toujours des choses à améliorer
L’avant-dernière porte-ouverte de la semaine bâtiments s’est déroulée vendredi chez un éleveur du canton d’Arnay-le-Duc.

La stabulation libre 100% paillée semi-ouverte de Didier Blandin, à Saint-Prix-lès-Arnay, accueille 80 vaches allaitantes et 40 jeunes en races Charolaise et Limousine. Étant opérationnel depuis l’été 2009, ce bâtiment bénéficie d’un recul assez intéressant pour dresser un bilan. [I]«Auparavant, j’étais en attache à curage. Cette stabulation m’a permis de simplifier le travail, améliorer l’élevage et faire la mise aux normes car il fallait des fosses à lisier»[i] observe Didier Blandin. Les derniers vêlages, par exemple, se sont [I]«parfaitement déroulés»[i]. Les points forts du bâtiment s’avèrent nombreux : la circulation est optimisée par plusieurs passages d’homme, des claies et une allée de circulation centrale, les couples mère/veau bénéficient d’une large surface d’aire paillée, le local technique est très accessible, l’aire paillée est bétonnée jusqu’au parc à veaux, une bonne luminosité est apportée par de nombreux translucides, un haut vent de 4 mètres offre une bonne protection. Enfin, huit cases d’isolement sont très pratiques pour l’éleveur, notamment en période estivale.
[I]«J’avais participé aux visites bâtiments les années qui ont précédé le projet, cela m’avait aidé dans mes choix»[i] commente Didier Blandin qui, malgré tout, apporterait certaines modifications si le bâtiment était à refaire : [I]«il y a toujours des choses à améliorer, même si on se penche beaucoup sur la question. Dans mon cas, je pense notamment à l’allée centrale qui est à peine assez large. Je rencontre quelques difficultés pour le curage des cases d’isolement : il n’y a pas assez de profondeur du côté de l’appentis destiné à la jeunesse»[i].
[I]«J’avais participé aux visites bâtiments les années qui ont précédé le projet, cela m’avait aidé dans mes choix»[i] commente Didier Blandin qui, malgré tout, apporterait certaines modifications si le bâtiment était à refaire : [I]«il y a toujours des choses à améliorer, même si on se penche beaucoup sur la question. Dans mon cas, je pense notamment à l’allée centrale qui est à peine assez large. Je rencontre quelques difficultés pour le curage des cases d’isolement : il n’y a pas assez de profondeur du côté de l’appentis destiné à la jeunesse»[i].