Élevage
Taurillon d’herbe : une production encore présente dans le département
L’équipe élevage de la Chambre d’agriculture organise une porte-ouverte le 12 décembre à 14 heures chez Jean-Yves Thomas au lieu-dit Nereuil-58340 Cercy la Tour. L’objectif est d’évoquer l’intérêt du taurillon d’herbe dans la conduite d’une exploitation.

Avec les aléas climatiques de ces deux dernières années, beaucoup d’éleveurs se posent des questions sur l’évolution de leur conduite d’exploitation. C’est pour tenter de donner des clefs aux éleveurs du département que la Chambre d’agriculture organise, sous la conduite de Christophe Dagouneau, conseiller élevage, une opération portes ouvertes le 12 décembre prochain chez Jean-Yves Thomas à Cercy-la-Tour.
Ce dernier s’est installé en 1995 avec seulement 70 hectares. Par la suite, il s’est agrandi en reprenant l’exploitation familiale et l’achat de l’exploitation voisine, accompagné de l’embauche d’un salarié. Cependant, Jean-Yves Thomas s’est aperçu qu’un UTH à temps plein était de trop pour sa structure. C’est à cette époque que des choix stratégiques ont été entrepris. Il a préféré se séparer de son salarié, diminuer son nombre de vêlage et choisir une production moins gourmande en temps. Afin d’optimiser son système, il s’est redirigé vers la finition de ses génisses et une partie de ses vaches. Sur la voie mâle, il a fait le choix, d’avoir une production de taurillon d’herbe qui est plus intéressante pour la mise en marché. L’objectif de l’évènement du 12 décembre est donc de montrer plus précisément les contraintes et les avantages à ce type de production.
Contact : Christophe Dagouneau, 06 33 63 91 32
Ce dernier s’est installé en 1995 avec seulement 70 hectares. Par la suite, il s’est agrandi en reprenant l’exploitation familiale et l’achat de l’exploitation voisine, accompagné de l’embauche d’un salarié. Cependant, Jean-Yves Thomas s’est aperçu qu’un UTH à temps plein était de trop pour sa structure. C’est à cette époque que des choix stratégiques ont été entrepris. Il a préféré se séparer de son salarié, diminuer son nombre de vêlage et choisir une production moins gourmande en temps. Afin d’optimiser son système, il s’est redirigé vers la finition de ses génisses et une partie de ses vaches. Sur la voie mâle, il a fait le choix, d’avoir une production de taurillon d’herbe qui est plus intéressante pour la mise en marché. L’objectif de l’évènement du 12 décembre est donc de montrer plus précisément les contraintes et les avantages à ce type de production.
Contact : Christophe Dagouneau, 06 33 63 91 32