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Sur-administration de l’agriculture : Une maladie incurable ?

Formulaires, déclarations, demandes d’autorisation, contrôles, sanctions, dépôts, instructions … Ouïe, ouïe, ouïe !!! La sur-administration grandissante du métier plombe toutes les initiatives, toutes les envies d’entreprendre.
Par S.L – FDSEA 58
Entre délais trop longs et rigidité extrême des procédures, entre compilations imbuvables et interprétations suggestives des réglementations s’appliquant à l’agriculture, les cas de dommages sur les exploitations sont légions. La FDSEA vous propose une revue concrète des cas d’école où gestion administrative des dossiers et quotidien sur les exploitations ne font pas bon ménage.
Le 21 février, la FNSEA organise à Paris, les états généraux de l’agriculture. Sur février et mars prochain, la FDSEA de la Nièvre vous fera découvrir, au travers de reportages et illustrations concrètes, les voies inconcevables dans lesquelles les méandres de la sur-administration entrainent parfois les exploitants agricoles. Noyautés par une rigidité administrative frôlant parfois l’extrême, certains d’entre eux vivent de véritables calvaires ; s’en suivent des dommages collatéraux non négligeables : problèmes financiers, mise en danger de la survie des entreprises, licenciement des salariés, dépression … A quand le retour du bon sens ?

C’est ainsi, qu’avant son assemblée générale 2014 qui aura pour thème [I]«Quel rapport entre administration et agriculteurs Nivernais ?»[i], la FDSEA vous propose une revue de cas type où à force d’une gestion administrative rigide voire même aveugle, des conséquences lourdes mettent en danger la survie des exploitations agricoles. Pour une vision éclairée du tableau noir de la sur-administration à la française, rendez-vous dès la semaine prochaine dans Terres de Bourgogne!