Dans la Nièvre
Stéphane Pieuchot, jeune agriculteur de la Nièvre
Stéphane Pieuchot (58) : un début de moisson encourageant
Pour Stéphane Pieuchot, 28 ans, exploitant en polyculture élevage, sur la commune de Neuffontaines, la récolte des orges s'annonce beaucoup mieux que celle de l'an passé (+15 Qx). A l'heure actuelle, 4 ha d'orge Arturio (variété destinée à la brasserie) sont fauchés. Sur des sols argilo-calcaires, le rendement s'élève à 80 quintaux de l'hectare. «Sur cette parcelle, le taux d'humidité est de 11,8, calibrage 90, teneur en protéines 10 et un PS de 64», précise Stéphane Pieuchot. Pour les orges restantes (Esterelle et mouture), le jeune agriculteur souhaite obtenir d'aussi bons résultats. «L'Esterelle s'avère être productive et la mouture de qualité, avec bien sûr un rendement moins élevé». Pourtant en ce début d'année, les pronostiques s'avéraient morose. «Au mois d'avril, notre technicien était pessimiste sur les rendements. Il nous annonçait une récolte à 40 quintaux de l'hectare. Mais suite aux pluies du mois de mai, les céréales ont repris du poil de la bête», témoigne Stéphane Pieuchot. «En revanche, la quantité de paille est moindre que l'an passé. Et j'avoue être sceptique sur la tarification. On parle de 90 euros la tonne». Dans le secteur, pour ce début de moisson, on ne remarque pas de réelle différence entre les terres à fort potentiel agronomique pour les cultures et les terres moins propices.
Pour Stéphane Pieuchot, 28 ans, exploitant en polyculture élevage, sur la commune de Neuffontaines, la récolte des orges s'annonce beaucoup mieux que celle de l'an passé (+15 Qx). A l'heure actuelle, 4 ha d'orge Arturio (variété destinée à la brasserie) sont fauchés. Sur des sols argilo-calcaires, le rendement s'élève à 80 quintaux de l'hectare. «Sur cette parcelle, le taux d'humidité est de 11,8, calibrage 90, teneur en protéines 10 et un PS de 64», précise Stéphane Pieuchot. Pour les orges restantes (Esterelle et mouture), le jeune agriculteur souhaite obtenir d'aussi bons résultats. «L'Esterelle s'avère être productive et la mouture de qualité, avec bien sûr un rendement moins élevé». Pourtant en ce début d'année, les pronostiques s'avéraient morose. «Au mois d'avril, notre technicien était pessimiste sur les rendements. Il nous annonçait une récolte à 40 quintaux de l'hectare. Mais suite aux pluies du mois de mai, les céréales ont repris du poil de la bête», témoigne Stéphane Pieuchot. «En revanche, la quantité de paille est moindre que l'an passé. Et j'avoue être sceptique sur la tarification. On parle de 90 euros la tonne». Dans le secteur, pour ce début de moisson, on ne remarque pas de réelle différence entre les terres à fort potentiel agronomique pour les cultures et les terres moins propices.