Transformation
Ses poissons n’ont qu’à bien se tenir
Le Gaec des truites de l’Aube, dans le canton de Montigny, vient d’inaugurer son nouvel atelier de transformation.
Il était intervenu lors de la conférence départementale du 8 novembre (voir nos précédentes éditions). Le pisciculteur Sylvain Tscheter, adhérent très actif au réseau Bienvenue à la ferme, avait mis en avant les bénéfices de l’accord cadre entre le Conseil général et la Chambre d’agriculture de Côte d’Or.
Ce partenariat lui avait permis de créer un laboratoire de transformation pour ses truites et saumons. Cet outil, mis en fonctionnement en juin, a été inauguré la semaine dernière en présence de nombreux élus et artisans ayant participé aux travaux. Installé à Veuxhaulles-sur-Aube au nord du département avec son associé Serge Nussbaum, Sylvain Tscheter a bénéficié d’aides du Conseil général, du Conseil régional et de l’Europe à hauteur de 30 000 euros (dont 8 000€ directement issus de l’accord cadre). [I]«Cela m’a beaucoup aidé. Sans ces soutiens, ça aurait été beaucoup plus difficile pour moi. Le coût de l’investissement est d’environ 135 000€ HT»[i] mentionne le pisciculteur, qui approche les 4 tonnes de poissons transformés depuis six mois. Des actions d’éviscération et filetage sont désormais effectuées au sein même du Gaec grâce à cet équipement flambant neuf. [I]«Avant, je faisais appel à des collègues dans l’Yonne. Le travail est aujourd’hui facilité, j’ai moins de dépenses et moins de trajets à effectuer»[i] se réjouit le producteur.
Ce partenariat lui avait permis de créer un laboratoire de transformation pour ses truites et saumons. Cet outil, mis en fonctionnement en juin, a été inauguré la semaine dernière en présence de nombreux élus et artisans ayant participé aux travaux. Installé à Veuxhaulles-sur-Aube au nord du département avec son associé Serge Nussbaum, Sylvain Tscheter a bénéficié d’aides du Conseil général, du Conseil régional et de l’Europe à hauteur de 30 000 euros (dont 8 000€ directement issus de l’accord cadre). [I]«Cela m’a beaucoup aidé. Sans ces soutiens, ça aurait été beaucoup plus difficile pour moi. Le coût de l’investissement est d’environ 135 000€ HT»[i] mentionne le pisciculteur, qui approche les 4 tonnes de poissons transformés depuis six mois. Des actions d’éviscération et filetage sont désormais effectuées au sein même du Gaec grâce à cet équipement flambant neuf. [I]«Avant, je faisais appel à des collègues dans l’Yonne. Le travail est aujourd’hui facilité, j’ai moins de dépenses et moins de trajets à effectuer»[i] se réjouit le producteur.
