Nature
Salarié agricole et photographe animalier
Adrien Bachelery travaille au Gaec de l’Abrepin et à l’EARL de Cheneroilles à Francheville. Ce Côte-d’orien de 34 ans se livre à la passion de la photographie animalière depuis son plus jeune âge.

Son appareil photo n’est jamais très loin de lui, même dans son tracteur en pleine journée de travail. Adrien Bachelery adore immortaliser ses rencontres avec les animaux sauvages. «Tout jeune, j’allais me promener en forêt avec mon père. J’ai tout de suite aimé le contact avec les cerfs, les chevreuils, les sangliers et autres gibiers», indique le salarié agricole d’Hubert Mony et de Pascal Manière à Francheville.
Adrien Bachelery effectue de nombreuses sorties tout au long de l’année dans un rayon d’une trentaine de kilomètres autour de Saint-Seine-l’Abbaye, le week-end, le soir et même le matin avant d’aller travailler ! Certaines périodes sont plus propices que d’autres pour exercer cette activité de loisir. «Les semaines que nous vivons actuellement ne sont généralement pas les meilleures. Avec les naissances, les mères restent bien loties avec leurs petits. Dès cet été, jusqu’à la fin de l’hiver, il y aura beaucoup plus de mouvements d’animaux. Les bêtes vont rechercher activement de la nourriture et de l’eau, ce sera plus facile de les observer» explique le jeune Côte-d’orien.
Malgré ses très beaux clichés (dix d’entre eux sont publiés sur cette page) et ses deux prix obtenus au festival international de la photographie animalière et de nature à Montier-en-Der (Haute-Marne), Adrien Bachelery se considère avant tout comme un passionné de nature : «de nombreuses personnes prennent sans aucun doute de plus belles photos que moi. J’aime la photographie, mais celle-ci reste secondaire par rapport à la joie procurée au contact d’un animal noble, notamment le cerf. Je garde d’excellents souvenirs de rencontres animalières que je n’avais pu immortaliser avec mon appareil».
Adrien Bachelery effectue de nombreuses sorties tout au long de l’année dans un rayon d’une trentaine de kilomètres autour de Saint-Seine-l’Abbaye, le week-end, le soir et même le matin avant d’aller travailler ! Certaines périodes sont plus propices que d’autres pour exercer cette activité de loisir. «Les semaines que nous vivons actuellement ne sont généralement pas les meilleures. Avec les naissances, les mères restent bien loties avec leurs petits. Dès cet été, jusqu’à la fin de l’hiver, il y aura beaucoup plus de mouvements d’animaux. Les bêtes vont rechercher activement de la nourriture et de l’eau, ce sera plus facile de les observer» explique le jeune Côte-d’orien.
Malgré ses très beaux clichés (dix d’entre eux sont publiés sur cette page) et ses deux prix obtenus au festival international de la photographie animalière et de nature à Montier-en-Der (Haute-Marne), Adrien Bachelery se considère avant tout comme un passionné de nature : «de nombreuses personnes prennent sans aucun doute de plus belles photos que moi. J’aime la photographie, mais celle-ci reste secondaire par rapport à la joie procurée au contact d’un animal noble, notamment le cerf. Je garde d’excellents souvenirs de rencontres animalières que je n’avais pu immortaliser avec mon appareil».