FDSEA
Rencontre avec la DDT au dernier bureau
Réunis en Bureau, les membres du conseil d’administration de la FDSEA de l’Yonne ont reçu le 13 juin dernier, Didier Roussel, directeur de la DDT 89, accompagné de ses adjoints.
Les circonstances sont exceptionnelles malheureusement à plus d’un titre : après le gel, les épisodes de grêle, la pluviométrie abondante, la rencontre s’est tenue à deux jours de la clôture des déclarations Pac alors que les paiements de l’année précédente ne sont pas soldés.
Inutile de préciser que les questions ont fusé de toutes parts parmi les membres du bureau.
Classement des communes en catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue : à ce jour il n’y avait que 18 communes classées, bien trop peu compte tenu de la situation dans le département. Même si le classement se fait sur des critères de dégâts d’ordre civil et des relevés météorologiques, ce classement permet de déclencher certaines choses pour le secteur agricole, notamment du dégrèvement foncier.
La dégradation continue des cultures et prairies depuis quelques semaines vient miner un peu plus le moral des agriculteurs dans un contexte économique déjà très tendu. La crise s’ajoute à la crise. Les membres du bureau ont alerté l’administration sur le fait que si contrôles il y aura, ils devront être cléments et particulièrement respectueux des exploitants et de ce qu’ils affrontent. Arnaud Rondeau, en tant que président de l’UPV, a signalé que les mouvements de grève dans les transports et ports entravent la réalisation de contrats de certains OS du département. C’est un impact économique supplémentaire à prendre en compte.
Toutes les demandes ont été unanimes pour demander de la souplesse et une approche simple des ajustements réglementaires nécessaires pour tenir compte du caractère exceptionnel de la situation et tout simplement de la «réalité» de l’activité agricole.
Inutile de préciser que les questions ont fusé de toutes parts parmi les membres du bureau.
Classement des communes en catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue : à ce jour il n’y avait que 18 communes classées, bien trop peu compte tenu de la situation dans le département. Même si le classement se fait sur des critères de dégâts d’ordre civil et des relevés météorologiques, ce classement permet de déclencher certaines choses pour le secteur agricole, notamment du dégrèvement foncier.
La dégradation continue des cultures et prairies depuis quelques semaines vient miner un peu plus le moral des agriculteurs dans un contexte économique déjà très tendu. La crise s’ajoute à la crise. Les membres du bureau ont alerté l’administration sur le fait que si contrôles il y aura, ils devront être cléments et particulièrement respectueux des exploitants et de ce qu’ils affrontent. Arnaud Rondeau, en tant que président de l’UPV, a signalé que les mouvements de grève dans les transports et ports entravent la réalisation de contrats de certains OS du département. C’est un impact économique supplémentaire à prendre en compte.
Toutes les demandes ont été unanimes pour demander de la souplesse et une approche simple des ajustements réglementaires nécessaires pour tenir compte du caractère exceptionnel de la situation et tout simplement de la «réalité» de l’activité agricole.