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Jeunes agriculteurs

Portrait d’élus : Maxime Boucher, président JA89

Maxime Boucher est président de JA 89 depuis ce printemps, voici un portrait de lui et de son exploitation.
Par JA ET FDSEA 89
Portrait d’élus :  Maxime Boucher, président JA89
Après avoir fait un Bac STAV (science et technologies de l’agronomie et du vivant) dans l’Aube, il poursuit par un BTS APV (agronomie et productions végétales) au lycée La Brosse à Auxerre. Son BTS en poche il s’installe en 2013, sur une exploitation céréalière de 124 hectares.
Il travaille aussi en entraide sur la ferme familiale qui vient de se lancer dans la vente directe de viande de vaches limousines. Conscient des enjeux qui pèsent aujourd’hui sur les agriculteurs du département, et notamment l’enjeu de la qualité de l’eau (son exploitation est située sur un BAC), Maxime a décidé de s’investir dans le syndicalisme pour être acteur et force de proposition sur ces sujets. Son engagement JA lui vient de son envie de défendre son métier et de se battre pour une plus grande reconnaissance. Il affirme son envie de participer activement à l’évolution de l’agriculture. Maxime se retrouve dans l’une des valeurs fortes de JA qu’est la défense de l’installation : «quand on s’installe c’est pour toute une vie, il faut être bien accompagné pour nos projets car c’est notre carrière entière qui en dépend !»

Il est aussi très impliqué dans la formation : «dans notre métier, il faut se former tout au long de notre carrière pour rester performants et impliqués». Maxime veut, au travers de son mandat, continuer le travail de JA sur l’installation en travaillant aussi le dossier de la transmission.

Pour Maxime Boucher, les élections chambre sont importantes pour construire le projet agricole de l’Yonne. «La Chambre accompagne JA sur l’installation et la transmission et cette collaboration est indispensable pour accompagner les projets. Au niveau du département, il faut pérenniser les filières existantes et en trouver de nouvelles pour que nous puissions faire évoluer nos systèmes vers plus de résilience, la Chambre d’Agriculture est l’acteur qui doit porter ce projet né de notre vision syndicale».