Pour la reproduction et le progrès génétique du troupeau
Penser IA !
En élevage allaitant charolais, l’insémination, rappelle Elva Novia, est un outil moderne pour maîtriser la reproduction et assurer le progrès génétique du troupeau. Arguments.
L’insémination en élevage charolais se développe année après année. Cette pratique est avant tout le choix d’un mode de reproduction qui permet de cibler les femelles qui seront inséminées, les périodes au cours desquelles cela aura lieu, mais aussi et bien sur les taureaux géniteurs. La technique permet ainsi de conjuguer maîtrise de la reproduction et amélioration génétique du troupeau.
Un objectif simple
Dans la majeure partie des exploitations, les génisses et les vaches après leurs vêlages sont conduites en lot. Les femelles sont allotées en fonction de leurs dates de vêlage et de leurs âges, pour que l’alimentation corresponde aux besoins physiologiques des femelles. La ration doit leur permettre de nourrir leurs veaux et de revenir en cycle dans les 90 jours après le vêlage, pour être à nouveau fécondées.
Permettant des interventions multiples, plusieurs jours durant, l’insémination contribue beaucoup à regrouper les naissances dans la période choisie par l’éleveur.
Elle élimine le risque de panne “Repro” ou d’accidents liés à la présence du taureau dans un lot… Les constats de gestation par échographie viendront valider et garantir les objectifs de reproduction, avant la mise à l’herbe ou au cours du printemps.
L’objectif pour l’éleveur est simple : il est d’obtenir un veau par vache et par an dans une période de vêlages choisie et groupée.
Gestion du progrès génétique
Ce n’est plus à démontrer, la génétique impacte fortement les résultats économiques des élevages, que ce soit sur les performances de production, de poids, de morphologie et de conformation ou sur les performances directement liées à la productivité des vaches : poids de naissance, aptitude au vêlage et à l’allaitement, fertilité.
Aujourd’hui, un large éventail de taureaux est à la disposition des éleveurs.
Il permet de sélectionner et d’améliorer durablement certaines caractéristiques génétiques au niveau d’un troupeau et de façon très fine au niveau de l’individu.
Un objectif simple
Dans la majeure partie des exploitations, les génisses et les vaches après leurs vêlages sont conduites en lot. Les femelles sont allotées en fonction de leurs dates de vêlage et de leurs âges, pour que l’alimentation corresponde aux besoins physiologiques des femelles. La ration doit leur permettre de nourrir leurs veaux et de revenir en cycle dans les 90 jours après le vêlage, pour être à nouveau fécondées.
Permettant des interventions multiples, plusieurs jours durant, l’insémination contribue beaucoup à regrouper les naissances dans la période choisie par l’éleveur.
Elle élimine le risque de panne “Repro” ou d’accidents liés à la présence du taureau dans un lot… Les constats de gestation par échographie viendront valider et garantir les objectifs de reproduction, avant la mise à l’herbe ou au cours du printemps.
L’objectif pour l’éleveur est simple : il est d’obtenir un veau par vache et par an dans une période de vêlages choisie et groupée.
Gestion du progrès génétique
Ce n’est plus à démontrer, la génétique impacte fortement les résultats économiques des élevages, que ce soit sur les performances de production, de poids, de morphologie et de conformation ou sur les performances directement liées à la productivité des vaches : poids de naissance, aptitude au vêlage et à l’allaitement, fertilité.
Aujourd’hui, un large éventail de taureaux est à la disposition des éleveurs.
Il permet de sélectionner et d’améliorer durablement certaines caractéristiques génétiques au niveau d’un troupeau et de façon très fine au niveau de l’individu.