Une nouvelle animatrice pour les JA 58
Marion, une passionnée d’animaux
Depuis le 1er décembre, les JA de la Nièvre ont une nouvelle animatrice départementale. Marion Dutour succède à Solène Jouy, partie s’occuper de diversification à la Chambre régionale d’agriculture de Rhône-Alpes.
Marion Dutour occupe le bureau du 2è étage intermédiaire de la Chambre d’agriculture de la Nièvre depuis le 1er décembre. Elle est la nouvelle animatrice syndicale des JA58. Agée de 23 ans, la jeune femme se définit avant tout comme «une passionnée des animaux depuis toute petite».
Née dans le sud de la Saône-et-Loire, d’un père chaudronnier-tuyauteur qui a fait des chantiers en France et à l’étranger et d’une mère au foyer, rien ne prédestinait Marion au monde de l’agriculture, et encore moins au syndicalisme.
Mais sa passion des animaux a tôt fait de la rattraper. Après une seconde générale vouée à l’échec, elle s’est ré-orientée, grâce à un conseiller d’orientation, vers un Bac Sciences et techniques d’agronomie et du vivant (STAV) option Productions animales. Elle a étudié au lycée agricole privé de Ressins (42) de septembre 2010 à juin 2012, date à laquelle elle a obtenu son diplôme. Voulant pousser plus loin, elle s’est donc intéressée, dans son domaine de prédilection, aux filières de formation les plus reconnues et s’est donc inscrite en 2012 à un BTS productions animales au lycée agricole de Challuy, qu’elle a quitté, diplôme en poche, à l’été 2014.
Expériences diversifiées en élevage
Tout au long de son parcours, Marion a touché du doigt de nombreuses réalités du monde de l’élevage. Elle a fait plusieurs stages, d’abord chez un éleveur laitier de la Loire, près de Roanne, puis dans un centre de reproduction équin, près de Nantes, et enfin chez un éleveur porcin de l’Allier, grâce auquel elle a pu découvrir le Concours général agricole au Salon de l’agriculture, où elle a passé dix jours. «ça montre un autre côté du métier, et ca met en valeur l’excellence du travail» retient-elle aujourd’hui. De son passage à Challuy, Marion garde aussi en tête les nuits de surveillance des charolaises de l’exploitation, durant lesquelles les étudiants sont amenés à accompagner les vêlages. La nouvelle animatrice connaît donc déjà la Nièvre et l’une de ses productions phares, même si elle concède qu’elle «découvre petit à petit l’animation syndicale, ce qui est sans doute mieux parce que j’ai un regard tout neuf !» Marion n’envisage pas de s’installer prochainement -par trop de contraintes et de manque de reconnaissance du métier- mais elle entend défendre au mieux les JA nivernais.
Née dans le sud de la Saône-et-Loire, d’un père chaudronnier-tuyauteur qui a fait des chantiers en France et à l’étranger et d’une mère au foyer, rien ne prédestinait Marion au monde de l’agriculture, et encore moins au syndicalisme.
Mais sa passion des animaux a tôt fait de la rattraper. Après une seconde générale vouée à l’échec, elle s’est ré-orientée, grâce à un conseiller d’orientation, vers un Bac Sciences et techniques d’agronomie et du vivant (STAV) option Productions animales. Elle a étudié au lycée agricole privé de Ressins (42) de septembre 2010 à juin 2012, date à laquelle elle a obtenu son diplôme. Voulant pousser plus loin, elle s’est donc intéressée, dans son domaine de prédilection, aux filières de formation les plus reconnues et s’est donc inscrite en 2012 à un BTS productions animales au lycée agricole de Challuy, qu’elle a quitté, diplôme en poche, à l’été 2014.
Expériences diversifiées en élevage
Tout au long de son parcours, Marion a touché du doigt de nombreuses réalités du monde de l’élevage. Elle a fait plusieurs stages, d’abord chez un éleveur laitier de la Loire, près de Roanne, puis dans un centre de reproduction équin, près de Nantes, et enfin chez un éleveur porcin de l’Allier, grâce auquel elle a pu découvrir le Concours général agricole au Salon de l’agriculture, où elle a passé dix jours. «ça montre un autre côté du métier, et ca met en valeur l’excellence du travail» retient-elle aujourd’hui. De son passage à Challuy, Marion garde aussi en tête les nuits de surveillance des charolaises de l’exploitation, durant lesquelles les étudiants sont amenés à accompagner les vêlages. La nouvelle animatrice connaît donc déjà la Nièvre et l’une de ses productions phares, même si elle concède qu’elle «découvre petit à petit l’animation syndicale, ce qui est sans doute mieux parce que j’ai un regard tout neuf !» Marion n’envisage pas de s’installer prochainement -par trop de contraintes et de manque de reconnaissance du métier- mais elle entend défendre au mieux les JA nivernais.