Concours général Charolais
Les valeurs sûres consacrées une fois de plus
Avec deux prix «Rappel de championnat», en mâle comme en femelle, le concours charolais 2017 a récompensé les valeurs sûres, déjà distinguées dans la précédente édition.

Hatenon de la SAS Ferme du Rompoué (58) et SCEA Hughes Pichard obtient le titre envié de rappel de championnat, ainsi que Déesse du Gaec Vincent Père et Fille (71) dans la catégorie femelle. Le prix de championnat mâle va donc à Holiday, du Gaec Cadoux père et fils de Saint-André en Terre Plaine dans l’Yonne. Le prix de championnat femelle est décerné à Frivole de la SCEA du Bourg (18).
Comme chaque année, ce grand show savamment orchestré, a laissé la parole aux éleveurs et aux acteurs de l’élevage entre deux séries, pour informer au mieux les citadins venus en nombre assister au spectacle. Les thèmes privilégiés des interventions concernaient le métier d’éleveur et le bien-être animal. Un vétérinaire, ancien praticien en charolais a notamment abordé la question du bien-être animal en positionnant l’éleveur et le vétérinaire comme les garants et les militants du bien-être animal. Le Salon reste en ce sens une formidable tribune pour communiquer et faire passer les messages, difficile cependant de savoir à la fin du marathon parisien ce qu’il en restera vraiment.
La fin du concours a été marquée par la présentation de huit animaux de boucherie de conformation parfaite, 3 vaches et 5 génisses, confirmant le lien étroit entre la génétique et les attentes de la filière. Cette nouvelle approche, expliquée et soutenue par Pascal Moine, boucher militant aux côtés des éleveurs, s’est faite ainsi plus concrète.
Comme chaque année, ce grand show savamment orchestré, a laissé la parole aux éleveurs et aux acteurs de l’élevage entre deux séries, pour informer au mieux les citadins venus en nombre assister au spectacle. Les thèmes privilégiés des interventions concernaient le métier d’éleveur et le bien-être animal. Un vétérinaire, ancien praticien en charolais a notamment abordé la question du bien-être animal en positionnant l’éleveur et le vétérinaire comme les garants et les militants du bien-être animal. Le Salon reste en ce sens une formidable tribune pour communiquer et faire passer les messages, difficile cependant de savoir à la fin du marathon parisien ce qu’il en restera vraiment.
La fin du concours a été marquée par la présentation de huit animaux de boucherie de conformation parfaite, 3 vaches et 5 génisses, confirmant le lien étroit entre la génétique et les attentes de la filière. Cette nouvelle approche, expliquée et soutenue par Pascal Moine, boucher militant aux côtés des éleveurs, s’est faite ainsi plus concrète.