Les formations «grandes cultures» arrivent

Jean-Pierre Gilbert est agriculteur dans le canton d'Aignay-le-Duc. Ce jeune céréalier est un [I]«habitué»[i] des formations puisqu'il en suit entre cinq et dix chaque année. Quelles sont ses motivations? [I]«Je souhaite m'€™informer sur les dernières réglementations comme par exemple plan fumure, la conditionnalité, le document unique, la mise aux normes ou encore les aires de lavage»[i] répond l'agriculteur en insistant sur le fait que [I]«certains rappels réglementaires sont les bienvenus»[i]. En venant à ces formations, Jean-Pierre Gilbert a un second objectif : [I]«récupérer un maximum d'informations pour progresser»[i] dans les domaines pratiques (l'agriculteur cite la stage soudure inox), commerciaux (pour connaître la situation mondiale) et techniques. Pour ce dernier point, Jean-Pierre Gilbert évoque tout ce qui va en faveur de l'environnement : la technique du semis sous couvert, le désherbage mécanique, le mélange des variétés, la formation [I]«bio»[i], la méthode franquet ou encore la formation [I]«travailler à l'eau de pluie»[i]. En plus de la formation reçue, Jean-Pierre Gilbert souligne [I]«l'effet synergie de groupe»[i] : [I]«dans chaque formation , il y a beaucoup d'échanges d'€™expériences, ce qui est très enrichissant pour chaque agriculteur participant»[i].