Semoirs
Les distributions de plus en plus technologiques
Sur les semoirs à céréales pneumatiques, les agriculteurs bénéficient de plus en plus d’automatismes améliorant leur confort et générant des économies.

Ces dernières années, l’entraînement électrique du doseur s’est largement démocratisé, l’opérateur modulant le dosage depuis la cabine via l’ouverture des sorties (jalonnage, etc.) et la vitesse de rotation du doseur. Cette solution permet de changer rapidement et simplement les réglages lorsqu’on passe d’une variété à l’autre. En outre, lorsque le semoir se situe dans un passage jalonné, bon nombre des doseurs électriques réduisent le dosage instantané dans la proportion de rangs qui sont fermés, pour ne pas surdoser l’ensemble des rangs non jalonnés. L’autre solution consiste à avoir un retour des graines en cuve pour les rangs jalonnés. Plus complexe, cette solution n’engendre pas de perturbation de flux d’air, donc de surdosage des rangs jouxtant les rangs jalonnés.
Au niveau des doseurs, deux clans se côtoient. Les partisans du doseur universel prônent la polyvalence et la simplicité de la bobine unique, tandis que les adeptes des bobines interchangeables mettent en avant la précision sur une plus grande plage de dosages. Qui plus est, avec un doseur unique, certains constructeurs annoncent des risques de casse à trop faible dose et d’alvéoles mal remplies à très forte vitesse de rotation (gros dosages).
Jalonnage symétrique, asymétrique ou combiné...
Le dosage électrique facilite également la modulation de dose. Bien souvent, celle-ci s’effectue manuellement en appuyant sur des boutons +/- sur le terminal en cabine. L’agriculteur peut ainsi choisir de surdoser une zone où la levée est difficile.
Plusieurs constructeurs proposent de paramétrer le pourcentage de variation de dose à chaque impulsion. Encore marginale, la modulation de semis automatique à partir d’une cartographie de préconisation ne semble plus être un problème technique pour plusieurs constructeurs, d’autant que le GPS est bien souvent déjà présent sur l’exploitation.
Autre point à gérer lorsque l’on parle de distribution, le jalonnage. Une majorité de constructeurs propose un pilotage simple du jalonnage, avec la possibilité de couper 2x2, 2x3, voire jusqu’à 2x5 rangs par passage régulier. Ce jalonnage s’effectue de façon symétrique, asymétrique, ou en combinant les deux. Nombre d’agriculteurs demandent également la coupure de la demi-largeur, notamment lorsque la largeur du pulvé est un multiple de celle du semoir. Ainsi, en ne semant qu’une demi-largeur lors du premier passage, le jalonnage est réalisé en symétrique : les deux passages de roue sont parfaitement parallèles. Ces rangs à couper sont présélectionnés mécaniquement, tandis qu’un dispositif électrique ou hydraulique active ou désactive ces rangs selon le passage que l’on travaille. Avec son système IDS, Pöttinger propose tous les rythmes de jalonnage, pour peu que ce soit un multiple de l’interligne (12,5 ou 15 cm). La tête de répartition dispose de moteurs électriques sur chaque sortie. On peut ainsi couper un rang sur deux, deux sur trois, mettre en place un jalonnage qui ne soit pas un multiple de la largeur du semoir ou couper un demi-semoir, voire à l’avenir la coupe rang par rang.
Au niveau des doseurs, deux clans se côtoient. Les partisans du doseur universel prônent la polyvalence et la simplicité de la bobine unique, tandis que les adeptes des bobines interchangeables mettent en avant la précision sur une plus grande plage de dosages. Qui plus est, avec un doseur unique, certains constructeurs annoncent des risques de casse à trop faible dose et d’alvéoles mal remplies à très forte vitesse de rotation (gros dosages).
Jalonnage symétrique, asymétrique ou combiné...
Le dosage électrique facilite également la modulation de dose. Bien souvent, celle-ci s’effectue manuellement en appuyant sur des boutons +/- sur le terminal en cabine. L’agriculteur peut ainsi choisir de surdoser une zone où la levée est difficile.
Plusieurs constructeurs proposent de paramétrer le pourcentage de variation de dose à chaque impulsion. Encore marginale, la modulation de semis automatique à partir d’une cartographie de préconisation ne semble plus être un problème technique pour plusieurs constructeurs, d’autant que le GPS est bien souvent déjà présent sur l’exploitation.
Autre point à gérer lorsque l’on parle de distribution, le jalonnage. Une majorité de constructeurs propose un pilotage simple du jalonnage, avec la possibilité de couper 2x2, 2x3, voire jusqu’à 2x5 rangs par passage régulier. Ce jalonnage s’effectue de façon symétrique, asymétrique, ou en combinant les deux. Nombre d’agriculteurs demandent également la coupure de la demi-largeur, notamment lorsque la largeur du pulvé est un multiple de celle du semoir. Ainsi, en ne semant qu’une demi-largeur lors du premier passage, le jalonnage est réalisé en symétrique : les deux passages de roue sont parfaitement parallèles. Ces rangs à couper sont présélectionnés mécaniquement, tandis qu’un dispositif électrique ou hydraulique active ou désactive ces rangs selon le passage que l’on travaille. Avec son système IDS, Pöttinger propose tous les rythmes de jalonnage, pour peu que ce soit un multiple de l’interligne (12,5 ou 15 cm). La tête de répartition dispose de moteurs électriques sur chaque sortie. On peut ainsi couper un rang sur deux, deux sur trois, mettre en place un jalonnage qui ne soit pas un multiple de la largeur du semoir ou couper un demi-semoir, voire à l’avenir la coupe rang par rang.