Châtillonnais
Les cultures ont trinqué
Les villages de Puits et Savoisy ont été sévèrement touchés par la grêle du 6 juillet.

La tempête de grêle n’a duré que dix minutes mais a anéanti bon nombre de parcelles agricoles dans le nord du département. Les villages de Puits et Savoisy semblent être les plus impactés avec des dégâts allant de 20 à 90 %. «Ce sont les chiffres que nous entendons de la part des différentes compagnies d’assurances», précise Yannick Salomon, associé du Gaec Salomon à Savoisy.
Ce jeune producteur fait partie des sinistrés. Les moissons étaient stoppées dû au manque de maturité pour les blés, mais le potentiel était au rendez-vous. En effet les rendements des orges d’hiver étaient très bons : «le blé est fortement impacté, il n’y aura guère à récolter sur nos 22 ha qui se trouvaient sous le nuage de grêle. Les récoltes étaient pourtant prometteuses, nous les avions assurés de façon à couvrir les frais engagés».
L’orge de printemps du Gaec Salomon est impactée dans les mêmes proportions. «Il y a aussi et surtout le maïs ensilage», poursuit le Côte-d’orien, «l’experte a prévu de revenir ces prochains jours pour chiffrer les dégâts avec un peu plus de précision. Nous sommes assurés contre la grêle dans toutes nos cultures, mais le maïs ensilage est le plus problématique pour nous. Un chèque ne comblera pas à lui seul notre silo pour l’alimentation des vaches laitières. Heureusement, la récolte d’herbe avait été satisfaisante ces dernières semaines».
Ce jeune producteur fait partie des sinistrés. Les moissons étaient stoppées dû au manque de maturité pour les blés, mais le potentiel était au rendez-vous. En effet les rendements des orges d’hiver étaient très bons : «le blé est fortement impacté, il n’y aura guère à récolter sur nos 22 ha qui se trouvaient sous le nuage de grêle. Les récoltes étaient pourtant prometteuses, nous les avions assurés de façon à couvrir les frais engagés».
L’orge de printemps du Gaec Salomon est impactée dans les mêmes proportions. «Il y a aussi et surtout le maïs ensilage», poursuit le Côte-d’orien, «l’experte a prévu de revenir ces prochains jours pour chiffrer les dégâts avec un peu plus de précision. Nous sommes assurés contre la grêle dans toutes nos cultures, mais le maïs ensilage est le plus problématique pour nous. Un chèque ne comblera pas à lui seul notre silo pour l’alimentation des vaches laitières. Heureusement, la récolte d’herbe avait été satisfaisante ces dernières semaines».