Attaques de chevaux
Les conseils de la gendarmerie pour protéger ses chevaux
Face au fléau qui touche les propriétaires de chevaux ces derniers mois, la gendarmerie a publié sur les réseaux sociaux quelques conseils pour protéger les exploitations et limiter au maximum les agressions sur les équidés.

Les attaques sur les chevaux font rage dans toute la France ces derniers mois. Alors que plusieurs enquêtes sont en cours sur l’ensemble du territoire français, l’Yonne y compris, la gendarmerie a publié sur les réseaux sociaux quelques conseils pour que les propriétaires de chevaux puissent au mieux protéger leurs animaux.
Le premier point vise à protéger son site. La gendarmerie indique qu’il est nécessaire d’identifier les accès : les zones dans lesquelles sont stationnés les chevaux, les zones de mise à l’abri, les zones isolées et les zones à l’abri des vues. Il faut aussi identifier sa zone à protéger : une ou des zones proches des bâtiments techniques ou d’habitations, qui peut faire l’objet d’une surveillance aisée et qui pourrait accueillir des animaux.
L’identification des systèmes de détection (caméras de chasse, vidéosurveillance, spots lumineux autonomes à détection de présence…) est également à faire. Ces systèmes serviront à la détection d’une éventuelle présence ou intrusion de la zone à protéger. L’emploi de signalétique permet d’affirmer la maîtrise de son espace.
Visiter régulièrement les animaux
Quant à la protection des animaux ? Il est conseillé de visiter régulièrement les animaux, s’assurer de leur intégrité, relever un éventuel stress ou comportement anormal. De rentrer les équidés le soir dans les box, stabulations, écuries ou les rassembler au plus près des bâtiments surveillés dans les prés. Aussi de protéger en priorité les animaux vieux, malades ou très amicaux envers l’Homme, car plus vulnérables. Il est également conseillé de ne pas séparer les poulains de leurs mères, de ranger les matériels susceptibles d’engendrer ou d’encourager des auteurs à commettre des actes de cruauté, de communiquer avec les propriétaires et/ou visiteurs en les sensibilisant à la menace, de prendre contact avec le voisinage et expliquer en quoi ils peuvent aider, et de faire visiter les lieux aux gendarmes pour les familiariser avec le site.
Il est important de prévenir les forces de l’ordre au plus vite pour toute situation anormale constatée (15 pour le Samu, 17 pour la police, 18 pour les pompiers, 112 pour appel d’urgence et 114 pour appel d’urgence pour les personnes sourdes et malentendantes) et de ne pas intervenir directement auprès des malfrats.
En cas d’intrusion sur son exploitation, veillez à ne procéder à aucune modification des lieux, et portez plainte le plus rapidement possible.
Le premier point vise à protéger son site. La gendarmerie indique qu’il est nécessaire d’identifier les accès : les zones dans lesquelles sont stationnés les chevaux, les zones de mise à l’abri, les zones isolées et les zones à l’abri des vues. Il faut aussi identifier sa zone à protéger : une ou des zones proches des bâtiments techniques ou d’habitations, qui peut faire l’objet d’une surveillance aisée et qui pourrait accueillir des animaux.
L’identification des systèmes de détection (caméras de chasse, vidéosurveillance, spots lumineux autonomes à détection de présence…) est également à faire. Ces systèmes serviront à la détection d’une éventuelle présence ou intrusion de la zone à protéger. L’emploi de signalétique permet d’affirmer la maîtrise de son espace.
Visiter régulièrement les animaux
Quant à la protection des animaux ? Il est conseillé de visiter régulièrement les animaux, s’assurer de leur intégrité, relever un éventuel stress ou comportement anormal. De rentrer les équidés le soir dans les box, stabulations, écuries ou les rassembler au plus près des bâtiments surveillés dans les prés. Aussi de protéger en priorité les animaux vieux, malades ou très amicaux envers l’Homme, car plus vulnérables. Il est également conseillé de ne pas séparer les poulains de leurs mères, de ranger les matériels susceptibles d’engendrer ou d’encourager des auteurs à commettre des actes de cruauté, de communiquer avec les propriétaires et/ou visiteurs en les sensibilisant à la menace, de prendre contact avec le voisinage et expliquer en quoi ils peuvent aider, et de faire visiter les lieux aux gendarmes pour les familiariser avec le site.
Il est important de prévenir les forces de l’ordre au plus vite pour toute situation anormale constatée (15 pour le Samu, 17 pour la police, 18 pour les pompiers, 112 pour appel d’urgence et 114 pour appel d’urgence pour les personnes sourdes et malentendantes) et de ne pas intervenir directement auprès des malfrats.
En cas d’intrusion sur son exploitation, veillez à ne procéder à aucune modification des lieux, et portez plainte le plus rapidement possible.