FDSEA 89
Les assemblées cantonales ont commencé
Parmi les sujets évoqués lors du dernier Conseil, celui des assemblées cantonales qui viennent de débuter, mais peinent à mobiliser les adhérents.
La première réunion cantonale de l’année, qui réunissait quatre cantons du tonnerrois n’a pas rencontré le succès escompté, hormis quelques agriculteurs retraités, toujours fidèles au rendez-vous. A l’ordre du jour pourtant, parmi les sujets abordés, celui du glyphosate, avec les multiples interrogations qui en découlent.
Une relance par SMS auprès des adhérents avait été menée, mais sans résultat. La question est posée : «que faut-il faire pour que les gens viennent ?» Ce président de canton se souvient d’un temps pas si lointain : «quand j’ai commencé et que je me suis installé, on faisait une réunion à Ancy-le-Franc, un seul canton invité, la salle était pleine !» Faut-il revoir les horaires ? L’organisation ? Le choix des thèmes retenus…? Certains sont partisans d’une régionalisation de ces assemblées : «l’idée serait de faire trois grandes réunions, dans l’auxerrois, le sénonais et l’avallonnais, avec un thème bien précis, un invité qui intéresse et là, on aurait du monde…» Pour d’autres, la mobilisation serait peut-être plus importante, si l’on changeait de créneau horaire, avec une réunion en fin d’après-midi, voire sur une exploitation, plutôt qu’en salle… Pour ce président cantonal dans le sénonais, les enjeux de ce type de réunions ne sont peut-être pas les mêmes pour tous : «on attend de la réunion cantonale que les gens nous disent ce qu’ils voudraient que l’on fasse, alors que dans le même temps, les personnes présentes viennent plutôt y rechercher des résultats. Dans l’esprit, les organisateurs et les participants n’ont pas le même but». Le travail mené pour redonner une emprise terrain aux présidents cantonaux sera poursuivi, mais pour cet administrateur, une chose est certaine : «la cantonale «à papa», c’est fini !»
Autres sujet abordé, celui du Conseil décentralisé de janvier, qui se déroulera sur deux jours au siège de la FNSEA à Paris. Suite au renouvellement de l’équipe aux dernières élections, nombreux sont ceux à n’y être encore jamais allés. Une première journée serait consacrée à la relance syndicale et la seconde serait l’occasion de recueillir les positions nationales sur un certain nombre de sujets comme : la gestion de l’eau, les phytos, la biodiversité, les énergies renouvelables, voire les subtilités de la loi NOTRe…
Pour le président de la FDSEA de l’Yonne, Damien Brayotel : «aujourd’hui, la qualité de l’eau est devenue un sujet majeur et cela pourrait être intéressant de voir comment travailler plus sur les zones de captages, avec les Communautés de communes ou les communes elles même». Une rencontre est par ailleurs programmée en cours de matinée, lors de cette seconde journée, avec la présidente de la FNSEA, Christiane Lambert.
Une relance par SMS auprès des adhérents avait été menée, mais sans résultat. La question est posée : «que faut-il faire pour que les gens viennent ?» Ce président de canton se souvient d’un temps pas si lointain : «quand j’ai commencé et que je me suis installé, on faisait une réunion à Ancy-le-Franc, un seul canton invité, la salle était pleine !» Faut-il revoir les horaires ? L’organisation ? Le choix des thèmes retenus…? Certains sont partisans d’une régionalisation de ces assemblées : «l’idée serait de faire trois grandes réunions, dans l’auxerrois, le sénonais et l’avallonnais, avec un thème bien précis, un invité qui intéresse et là, on aurait du monde…» Pour d’autres, la mobilisation serait peut-être plus importante, si l’on changeait de créneau horaire, avec une réunion en fin d’après-midi, voire sur une exploitation, plutôt qu’en salle… Pour ce président cantonal dans le sénonais, les enjeux de ce type de réunions ne sont peut-être pas les mêmes pour tous : «on attend de la réunion cantonale que les gens nous disent ce qu’ils voudraient que l’on fasse, alors que dans le même temps, les personnes présentes viennent plutôt y rechercher des résultats. Dans l’esprit, les organisateurs et les participants n’ont pas le même but». Le travail mené pour redonner une emprise terrain aux présidents cantonaux sera poursuivi, mais pour cet administrateur, une chose est certaine : «la cantonale «à papa», c’est fini !»
Autres sujet abordé, celui du Conseil décentralisé de janvier, qui se déroulera sur deux jours au siège de la FNSEA à Paris. Suite au renouvellement de l’équipe aux dernières élections, nombreux sont ceux à n’y être encore jamais allés. Une première journée serait consacrée à la relance syndicale et la seconde serait l’occasion de recueillir les positions nationales sur un certain nombre de sujets comme : la gestion de l’eau, les phytos, la biodiversité, les énergies renouvelables, voire les subtilités de la loi NOTRe…
Pour le président de la FDSEA de l’Yonne, Damien Brayotel : «aujourd’hui, la qualité de l’eau est devenue un sujet majeur et cela pourrait être intéressant de voir comment travailler plus sur les zones de captages, avec les Communautés de communes ou les communes elles même». Une rencontre est par ailleurs programmée en cours de matinée, lors de cette seconde journée, avec la présidente de la FNSEA, Christiane Lambert.