Spectacle
Le stress est dans le pré
La commission des agricultrices de la FDSEA de la Nièvre organise une soirée sur les risques psycho-sociaux en agriculture, vendredi 30 septembre, à 19h30, à la MJC de Châtillon en Bazois. Rencontre avec Chantal Pelletier, présidente de la Commission des Agricultrices de la FDSEA 58.
En quoi consiste la commission des agricultrices?
C.P: «La commission des agricultrices a principalement un rôle sur la défense des droits des agricultrices qui ont beaucoup évolués. Une de nos missions dans la Nièvre est la communication sur notre métier auprès des jeunes collégiens et leur apporter des éléments concrets en vue de leur orientation future. Nous intervenons chaque année dans une dizaine de collèges du département. Nous organisons aussi une sortie annuelle de détente pour souder le groupe. Nous accueillerons avec plaisir toutes les agricultrices souhaitant nous rejoindre. Puis, lors de nos réunions, nous échangeons sur de nombreux sujets d’actualité d’où émergent des projets».
Pouvez-vous nous dire quel projet est en cours ?
C.P: «Au cours des années passées, nous avons souvent évoqué les risques psycho-sociaux en agriculture, qui chaque fois prenaient plus d’importance vu les événements qui se produisaient dans notre entourage. C’est devenu une évidence: il est nécessaire de sensibiliser les agriculteurs de notre département. Depuis presque un an, nous élaborons un plan d’action dans l’objectif d’aborder ce sujet encore tabou mais qui prend de l’ampleur vu la dégradation de la conjoncture agricole. Nous proposons d’initier une réflexion sur les facteurs de stress que nous subissons et d’évoquer des pistes pour les surmonter».
Quelle action concrète mettez-vous en place?
C.P: «Afin d’aborder ce sujet très sérieux, nous avons choisi de faire une soirée sous forme d’un débat théâtral avec la troupe «Entrée de jeu», basé sur le principe d’interaction entre la scène et la salle. Celle-ci aura lieu le vendredi 30 septembre, à 19h30, à la MJC de Châtillon en bazois. L’entrée est gratuite et ouverte à tous les agriculteurs, leurs proches et acteurs du monde rural. Puis, pour continuer les échanges, un cocktail convivial clôturera la soirée».
Quelles sont vos attentes vis-à-vis de cette soirée?
C.P: «Je pense que c’est un sujet vraiment d’actualité et j’espère donc qu’un maximum de personnes viendront. Et surtout, que si un jour des personnes sont face à cette situation, qu’elles arrivent à parler de leurs problèmes plutôt que de rester seules et isolées. La MSA, Groupama et la Chambre d’Agriculture, partenaires de cet événement, sont aussi bien conscients de ce risque en 2016. Par la suite, si des personnes sont motivées nous souhaiterions continuer l’action soit sous forme de réunion, groupe de discussion ou même de formation».
C.P: «La commission des agricultrices a principalement un rôle sur la défense des droits des agricultrices qui ont beaucoup évolués. Une de nos missions dans la Nièvre est la communication sur notre métier auprès des jeunes collégiens et leur apporter des éléments concrets en vue de leur orientation future. Nous intervenons chaque année dans une dizaine de collèges du département. Nous organisons aussi une sortie annuelle de détente pour souder le groupe. Nous accueillerons avec plaisir toutes les agricultrices souhaitant nous rejoindre. Puis, lors de nos réunions, nous échangeons sur de nombreux sujets d’actualité d’où émergent des projets».
Pouvez-vous nous dire quel projet est en cours ?
C.P: «Au cours des années passées, nous avons souvent évoqué les risques psycho-sociaux en agriculture, qui chaque fois prenaient plus d’importance vu les événements qui se produisaient dans notre entourage. C’est devenu une évidence: il est nécessaire de sensibiliser les agriculteurs de notre département. Depuis presque un an, nous élaborons un plan d’action dans l’objectif d’aborder ce sujet encore tabou mais qui prend de l’ampleur vu la dégradation de la conjoncture agricole. Nous proposons d’initier une réflexion sur les facteurs de stress que nous subissons et d’évoquer des pistes pour les surmonter».
Quelle action concrète mettez-vous en place?
C.P: «Afin d’aborder ce sujet très sérieux, nous avons choisi de faire une soirée sous forme d’un débat théâtral avec la troupe «Entrée de jeu», basé sur le principe d’interaction entre la scène et la salle. Celle-ci aura lieu le vendredi 30 septembre, à 19h30, à la MJC de Châtillon en bazois. L’entrée est gratuite et ouverte à tous les agriculteurs, leurs proches et acteurs du monde rural. Puis, pour continuer les échanges, un cocktail convivial clôturera la soirée».
Quelles sont vos attentes vis-à-vis de cette soirée?
C.P: «Je pense que c’est un sujet vraiment d’actualité et j’espère donc qu’un maximum de personnes viendront. Et surtout, que si un jour des personnes sont face à cette situation, qu’elles arrivent à parler de leurs problèmes plutôt que de rester seules et isolées. La MSA, Groupama et la Chambre d’Agriculture, partenaires de cet événement, sont aussi bien conscients de ce risque en 2016. Par la suite, si des personnes sont motivées nous souhaiterions continuer l’action soit sous forme de réunion, groupe de discussion ou même de formation».
