Section des anciens exploitants
Le premier bureau post-confinement
Mardi 30 juin, le bureau de la section des anciens exploitants s’est réuni en présentiel dans les locaux de Groupama pour le premier bureau «physique» depuis le confinement.
Arrivée masquée, désinfection des mains, salle avec des fauteuils espacés de plus d’un mètre, toutes les précautions avaient été prises pour que le bureau des anciens exploitants puisse se tenir mardi 30 juin en matinée. En effet, si les précautions sont importantes pour tout le monde, elles sont cruciales pour nos aînés. Le bureau était très content de se revoir après les mois de confinement et aucun risque n’a été pris pour que la situation reste bonne.
L’ordre du jour était conséquent lui aussi. La réforme des retraites a été largement débattue. Certes l’avancée obtenue est le fruit d’un travail de longue haleine et devrait permettre de conforter le revenu de nombreux retraités. Toutefois, cette réforme est encore imparfaite. En effet, elle ne tient pas compte des exploitants qui ont travaillé dans le privé avant de s’installer (les polypensionnés). Mais surtout, la réforme ne prévoit pas de revalorisation pour les conjointes. Elles doivent donc encore se contenter du minimum vieillesse ce qui ne peut satisfaire à la décence compte tenu du travail fourni par ces femmes. Un courrier a été adressé aux parlementaires et la section continuera sa mobilisation sur ce dossier capital des retraites.
Des besoins de formations exprimés
Les élus du bureau des anciens ont aussi commencé à préparer leur Assemblée générale qui se tiendra le 8 septembre. La principale difficulté cette année est de trouver une salle qui puisse accueillir les cent convives dans le respect des normes de sécurité sanitaires. La Covid-19 complique encore la tâche. Le programme est quant à lui établi et les aînés iront faire une visite d’exploitation après le repas. Toujours soucieux de se tenir informés des évolutions du métier, ils ont choisi cette année une exploitation en semis direct sous couverts, technique culturale qui se développe de plus en plus dans notre département.
Enfin, les anciens ont aussi exprimé des besoins de formations qui sont apparus pendant le confinement.
Notamment tout ce qui a trait à l’utilisation des nouvelles technologies : faire une visio avec les petits enfants, faire ses courses sur un «drive», renouveler une ordonnance par téléconsultation… autant de services qui se développent mais qui sont difficilement accessibles pour les générations qui ne sont pas nées avec l’informatique. Ces formations seront proposées dès cet automne.
Comme à son habitude la section des anciens est très active et s’implique sur de nombreux dossiers. Cette année par contre la commission voyage ne peut pas proposer d’activité ni de destination de voyage en raison des mesures sanitaires, mais qu’à cela ne tienne, la section en a vu d’autre et se projette déjà plus en avant.
L’ordre du jour était conséquent lui aussi. La réforme des retraites a été largement débattue. Certes l’avancée obtenue est le fruit d’un travail de longue haleine et devrait permettre de conforter le revenu de nombreux retraités. Toutefois, cette réforme est encore imparfaite. En effet, elle ne tient pas compte des exploitants qui ont travaillé dans le privé avant de s’installer (les polypensionnés). Mais surtout, la réforme ne prévoit pas de revalorisation pour les conjointes. Elles doivent donc encore se contenter du minimum vieillesse ce qui ne peut satisfaire à la décence compte tenu du travail fourni par ces femmes. Un courrier a été adressé aux parlementaires et la section continuera sa mobilisation sur ce dossier capital des retraites.
Des besoins de formations exprimés
Les élus du bureau des anciens ont aussi commencé à préparer leur Assemblée générale qui se tiendra le 8 septembre. La principale difficulté cette année est de trouver une salle qui puisse accueillir les cent convives dans le respect des normes de sécurité sanitaires. La Covid-19 complique encore la tâche. Le programme est quant à lui établi et les aînés iront faire une visite d’exploitation après le repas. Toujours soucieux de se tenir informés des évolutions du métier, ils ont choisi cette année une exploitation en semis direct sous couverts, technique culturale qui se développe de plus en plus dans notre département.
Enfin, les anciens ont aussi exprimé des besoins de formations qui sont apparus pendant le confinement.
Notamment tout ce qui a trait à l’utilisation des nouvelles technologies : faire une visio avec les petits enfants, faire ses courses sur un «drive», renouveler une ordonnance par téléconsultation… autant de services qui se développent mais qui sont difficilement accessibles pour les générations qui ne sont pas nées avec l’informatique. Ces formations seront proposées dès cet automne.
Comme à son habitude la section des anciens est très active et s’implique sur de nombreux dossiers. Cette année par contre la commission voyage ne peut pas proposer d’activité ni de destination de voyage en raison des mesures sanitaires, mais qu’à cela ne tienne, la section en a vu d’autre et se projette déjà plus en avant.
