Farming Simulator
Le jeu de simulation agricole de référence
Le principe est simple: immiscez-vous dans la vie d’un agriculteur et bâtissez une exploitation à votre image. Décryptons ensemble ce jeu vidéo tant plébiscité.

Cela fait dix ans que le jeu vidéo Farming Simulator rassemble les passionnés du monde des gamers (joueurs en ligne) et ceux du milieu agricole. La filière agricole peut se satisfaire de la montée en puissance du jeu qui a déjà été vendu à 10 millions d’exemplaires, toutes plateformes et tous pays confondus. Farming Simulator vulgarise de manière positive l’agriculture auprès d’un large public. Blé, vaches, maïs, moutons, forêt… quasiment toutes les productions du monde rural y sont représentées. Mais ce qui séduit le plus, c’est de pouvoir virtuellement acquérir et surtout conduire les plus belles machines agricoles. Pas moins de 300 véhicules et outils de plus de 100 marques y sont représentés. John Deere fait une arrivée remarquée dans la nouvelle version Farming Simulator 19, après Agco (Fendt, Massey Ferguson et Valtra) deux ans plus tôt et CNH (Case IH et New Holland) auparavant. Le constructeur américain met à disposition 16 modèles des gammes 6M, 6R, 7R, 8R et 8RT, ainsi que deux modèles de moissonneuses-batteuses T560 et S790, et promet encore de belles surprises.
Soyez rassurés, pas besoin d’avoir de l’expérience et encore moins son permis de conduire pour manœuvrer ces engins de toutes tailles. Les règles s’apprennent vite, même pour les néophytes. Même si le jeu offre dorénavant jusqu’à trois possibilités de démarrage, avec plus ou moins de biens et de liquidité, l’objectif reste bien évidemment de s’installer agriculteur, avec un petit pécule de base, qu’il faut faire prospérer au travers des saisons, à l’aide des diverses productions et du fruit de leurs ventes. Si la virtualité bafoue un peu la complexité actuelle du système, le processus est très bien respecté.
Une véritable communauté comme force
Ce jeu est évolutif à souhait, ce qui en fait toute sa richesse. En plus des DLC, sorte d’extension commercialisée pour rajouter des marques en attendant les nouvelles versions du jeu tous les deux ans, des gamers codent informatiquement pour inventer leur jeu sous forme de mods, qu’ils se partagent. Ils ont comme seule limite leur imagination. Ils créent des cartes, des saisons, des productions - comme les vignes, encore absentes du jeu cette année - ou bien tout un tas de matériels qu’ils conduisent dans la réalité ou non.
Le studio de création Giants Software s’en inspire constamment pour améliorer ses jeux à venir. Le développeur tient à ce que chaque nouvelle version consiste en une reprise des anciennes générations de jeu, agrémentée de nouveautés, à l’image d’un calque que l’on vient superposer. Pour jouer, pensez juste à vous équiper d’un ordinateur performant.
Pour continuer de stimuler ces passionnés, le développeur et l’éditeur (Focus Home Interactive) n’hésitent pas à rassembler des milliers de joueurs, venant de nombreux pays et d’horizons différents, une fois par an, en Allemagne. Alexandra Bordes, responsable communication pour John Deere France, voit en ce jeu et ces rassemblements «une manière ludique de faire découvrir l’agriculture, espérons-le créatrice de vocations».
Soyez rassurés, pas besoin d’avoir de l’expérience et encore moins son permis de conduire pour manœuvrer ces engins de toutes tailles. Les règles s’apprennent vite, même pour les néophytes. Même si le jeu offre dorénavant jusqu’à trois possibilités de démarrage, avec plus ou moins de biens et de liquidité, l’objectif reste bien évidemment de s’installer agriculteur, avec un petit pécule de base, qu’il faut faire prospérer au travers des saisons, à l’aide des diverses productions et du fruit de leurs ventes. Si la virtualité bafoue un peu la complexité actuelle du système, le processus est très bien respecté.
Une véritable communauté comme force
Ce jeu est évolutif à souhait, ce qui en fait toute sa richesse. En plus des DLC, sorte d’extension commercialisée pour rajouter des marques en attendant les nouvelles versions du jeu tous les deux ans, des gamers codent informatiquement pour inventer leur jeu sous forme de mods, qu’ils se partagent. Ils ont comme seule limite leur imagination. Ils créent des cartes, des saisons, des productions - comme les vignes, encore absentes du jeu cette année - ou bien tout un tas de matériels qu’ils conduisent dans la réalité ou non.
Le studio de création Giants Software s’en inspire constamment pour améliorer ses jeux à venir. Le développeur tient à ce que chaque nouvelle version consiste en une reprise des anciennes générations de jeu, agrémentée de nouveautés, à l’image d’un calque que l’on vient superposer. Pour jouer, pensez juste à vous équiper d’un ordinateur performant.
Pour continuer de stimuler ces passionnés, le développeur et l’éditeur (Focus Home Interactive) n’hésitent pas à rassembler des milliers de joueurs, venant de nombreux pays et d’horizons différents, une fois par an, en Allemagne. Alexandra Bordes, responsable communication pour John Deere France, voit en ce jeu et ces rassemblements «une manière ludique de faire découvrir l’agriculture, espérons-le créatrice de vocations».
Farming Simulator 19
300 véhicules et outils
Plus de 100 marques
Nouvelles cultures : coton et avoine (les forêts sont désormais en vente)
Nouvel élevage : chevaux
Disponible sur PC (à 34,90 €) et consoles (Xbox One et PS4 – à 49,90 €)
Plus de 100 marques
Nouvelles cultures : coton et avoine (les forêts sont désormais en vente)
Nouvel élevage : chevaux
Disponible sur PC (à 34,90 €) et consoles (Xbox One et PS4 – à 49,90 €)