Saint-Vincent tournante du Chablisien
La passe de trois pour Béru
Ce week-end a eu lieu la 51e Saint-Vincent tournante du Chablisien, à Béru. Petit village de 70 habitants, la commune a accueilli pour la troisième fois l’événement après 1977 et 1998. Le tout sous un thème : le temps.

Samedi 1er et dimanche 2 février, Béru a accueilli la 51e Saint-Vincent tournante du Chablisien. Plusieurs milliers de personnes ont déambulé durant tout le week-end dans ce petit village de 70 habitants. «Le plus petit village viticole du Chablisien», indique Jérôme Bocquet, Maire de Béru.
Alors, comment se sont déroulées les festivités ? Les visiteurs ont d’abord pu assister au traditionnel banquet le samedi midi (650 personnes sont venues, ndlr), avant le bal du soir. Le dimanche, la journée a débuté par la messe en l’église Sainte-Marie Madeleine de Béru, suivie de la passation du Saint-Vincent, le défilé dans les rues au milieu des nombreux décors confectionnés depuis deux ans, les discours des officiels et les intronisations par la confrérie des Piliers Chablisiens. Le tout sur un thème : le temps. «Les huit caveaux ont ensuite ouvert pour faire déguster aux visiteurs la cuvée Saint-Vincent de cette année», ajoute Adrien Marini, président de la Saint-Vincent de Béru.
La cuvée Saint-Vincent
Mais qu’est-ce que la cuvée Saint-Vincent ? «Tous les viticulteurs qui exploitent sur la commune de Béru ont donné du jus de raisin pour constituer cette cuvée», répond Adrien Marini. Du jus que l’on laisse vinifier avant de le faire déguster lors de l’événement.
À travers ces festivités et cette cuvée, c’est la promotion de l’appellation Chablis qui est faite. Et comme le Chablis ne s’arrête pas aux frontières du village éponyme, la Saint-Vincent voyage d’année en année dans la vingtaine de communes du Chablisien.
Dans un contexte où l’appellation Bourgogne est menacée, cette fête devenue tradition, prend le temps de rappeler l’importance des vins et de ces appellations dans le Chablisien comme dans la Bourgogne tout entière. Alors comme dit Adrien Marini, «vive le Chablis !»
Alors, comment se sont déroulées les festivités ? Les visiteurs ont d’abord pu assister au traditionnel banquet le samedi midi (650 personnes sont venues, ndlr), avant le bal du soir. Le dimanche, la journée a débuté par la messe en l’église Sainte-Marie Madeleine de Béru, suivie de la passation du Saint-Vincent, le défilé dans les rues au milieu des nombreux décors confectionnés depuis deux ans, les discours des officiels et les intronisations par la confrérie des Piliers Chablisiens. Le tout sur un thème : le temps. «Les huit caveaux ont ensuite ouvert pour faire déguster aux visiteurs la cuvée Saint-Vincent de cette année», ajoute Adrien Marini, président de la Saint-Vincent de Béru.
La cuvée Saint-Vincent
Mais qu’est-ce que la cuvée Saint-Vincent ? «Tous les viticulteurs qui exploitent sur la commune de Béru ont donné du jus de raisin pour constituer cette cuvée», répond Adrien Marini. Du jus que l’on laisse vinifier avant de le faire déguster lors de l’événement.
À travers ces festivités et cette cuvée, c’est la promotion de l’appellation Chablis qui est faite. Et comme le Chablis ne s’arrête pas aux frontières du village éponyme, la Saint-Vincent voyage d’année en année dans la vingtaine de communes du Chablisien.
Dans un contexte où l’appellation Bourgogne est menacée, cette fête devenue tradition, prend le temps de rappeler l’importance des vins et de ces appellations dans le Chablisien comme dans la Bourgogne tout entière. Alors comme dit Adrien Marini, «vive le Chablis !»