EPLEFPA des Terres de l’Yonne
La nouvelle stabulation inaugurée
Le mardi 12 novembre a eu lieu l’inauguration de la nouvelle stabulation de l’exploitation agricole de l’EPLEFPA des Terres de l’Yonne, à Venoy, en présence de Marie-Guite Dufay, Présidente de la Région BFC. Un projet, financé par la Région, qui inclut un passage en bio, avec des missions de production, pédagogiques et d’expérimentation.

Mardi 12 novembre a eu lieu l’inauguration de la nouvelle stabulation de l’exploitation agricole de l’EPLEFPA (Établissements publics locaux d’enseignement et de formation professionnelle agricoles) des Terres de l’Yonne, à Venoy.
Un projet, financé par la Région, qui a vu le jour il y a trois mois. «L’idée de faire une nouvelle stabulation a émergé car l’ancienne était obsolète. Le but était de faire une promotion du secteur laitier dans des conditions de travail convenable, pour que ce soit une référence, ce qui n’était plus le cas avec l’ancienne stabulation qui date des années soixante-dix», indique Jean-Baptiste Thibaut, Président du conseil d’administration de l’EPL des Terres de l’Yonne.
Ce projet, qui incluait un passage en bio, a donc vu sortir de terre une stabulation pouvant accueillir 70 vaches. «Aujourd’hui, il y en a une cinquantaine mais c’est pour anticiper un éventuel développement du troupeau». Pour le moment, le rendement moyen est de 5 000 à 6 000 litres de lait produit (par vache/an).
Améliorer le bien-être animal
L’objectif de cette nouvelle stabulation est aussi d’améliorer les conditions de travail des salariés et le bien-être animal. «Ici, les animaux ne sont pas sales. Tout est bien dimensionné pour que les déjections passent au niveau du racleur», explique François Humeau, directeur de l’exploitation. «Le bâtiment est lumineux, il y a également une brosse pour les vaches, ce qui n’était pas le cas avant. Et le temps de travail est amélioré, notamment avec le racleur au niveau des logettes». Une nouvelle salle de traite et de nouveaux équipements complètent le bâtiment.
Et dans une logique bio, où la volonté est l’autonomie alimentaire, luzerne et méteil sont produits sur l’exploitation. Sur les 170 ha de SAU (surface agricole utile), 130 sont pour le moment en bio.
Quant aux missions sur l’exploitation ? « Il y a des missions de production, pédagogiques et d’expérimentation. Les élèves du lycée La Brosse viennent pour les cours, pour faire des stages de traite», continue François Humeau. «Les Bacs, premières, secondes et troisièmes passent sur l’exploitation pour faire différents travaux pratiques. Autant sur le secteur laitier, avec la stabulation, que sur les céréales et la vigne», conclut Jean-Baptiste Thibaut.
Un projet, financé par la Région, qui a vu le jour il y a trois mois. «L’idée de faire une nouvelle stabulation a émergé car l’ancienne était obsolète. Le but était de faire une promotion du secteur laitier dans des conditions de travail convenable, pour que ce soit une référence, ce qui n’était plus le cas avec l’ancienne stabulation qui date des années soixante-dix», indique Jean-Baptiste Thibaut, Président du conseil d’administration de l’EPL des Terres de l’Yonne.
Ce projet, qui incluait un passage en bio, a donc vu sortir de terre une stabulation pouvant accueillir 70 vaches. «Aujourd’hui, il y en a une cinquantaine mais c’est pour anticiper un éventuel développement du troupeau». Pour le moment, le rendement moyen est de 5 000 à 6 000 litres de lait produit (par vache/an).
Améliorer le bien-être animal
L’objectif de cette nouvelle stabulation est aussi d’améliorer les conditions de travail des salariés et le bien-être animal. «Ici, les animaux ne sont pas sales. Tout est bien dimensionné pour que les déjections passent au niveau du racleur», explique François Humeau, directeur de l’exploitation. «Le bâtiment est lumineux, il y a également une brosse pour les vaches, ce qui n’était pas le cas avant. Et le temps de travail est amélioré, notamment avec le racleur au niveau des logettes». Une nouvelle salle de traite et de nouveaux équipements complètent le bâtiment.
Et dans une logique bio, où la volonté est l’autonomie alimentaire, luzerne et méteil sont produits sur l’exploitation. Sur les 170 ha de SAU (surface agricole utile), 130 sont pour le moment en bio.
Quant aux missions sur l’exploitation ? « Il y a des missions de production, pédagogiques et d’expérimentation. Les élèves du lycée La Brosse viennent pour les cours, pour faire des stages de traite», continue François Humeau. «Les Bacs, premières, secondes et troisièmes passent sur l’exploitation pour faire différents travaux pratiques. Autant sur le secteur laitier, avec la stabulation, que sur les céréales et la vigne», conclut Jean-Baptiste Thibaut.