FDSEA/JA de Côt d'Or
La nouvelle préfète sur le terrain
Les responsables de la FDSEA de Côte d'Or viennent d'enchaîner deux rendez-vous avec Anne Boquet afin de la sensibiliser aux problématiques agricoles du département.
La FDSEA et les JA de Côte d'Or ont invité hier après-midi Anne Boquet, la nouvelle préfète du département et de la région, à visiter deux exploitations agricoles. L'EARL Fercocq à Grignon dans le canton de Venarey-lès-Laumes et l'EARL Marc Morand à Saint-Martin-du-Mont dans le canton de Saint-Seine l'Abbaye ont bien résumé les problématiques agricoles du département. La première citée est une exploitation laitière actuellement en abattage diagnostic.
La seconde est une exploitation mixte à faibles potentiels céréaliers, avec un élevage allaitant et de nombreux dégâts de gibier. Le compte-rendu de ces deux visites seront dans la prochaine édition de Terres de Bourgogne.
[INTER]Rendez-vous à la préfecture[inter]
Une délégation agricole composée de Fabrice Faivre, Jean Bertrand, Emmanuel Raillard, Laurent Garnier, Dominique Guyon, Jean-Luc Loison et Sébastien Gautier s'était préalablement rendue à la préfecture la semaine dernière à Dijon. L'objectif était double pour la FDSEA : présenter ses différents membres et sensibiliser la nouvelle préfète aux problématiques de l'agriculture côte d'orienne.
Le rendez-vous a duré environ une heure et demi. Quatre autres personnes entouraient Anne Boquet: Cécile Legrand (sous-préfète de Montbard), Evelyne Guyon (sous-préfète de Beaune) ainsi que Jean-Luc Linard (directeur départemental des territoires) et Pierre Aubert (directeur départemental de la protection des populations).
[INTER]Anne Boquet «très intéressée»[inter]
Une présentation du département avec toutes les productions et de leurs problématiques actuelles ont été présentées par les responsables de la FDSEA. [I]«Nous avons ensuite insisté sur la notion de zone intermédiaire»[i] relate le président Fabrice Faivre, avant d'aborder la problématique des dégâts de gibier et les demandes de la FDSEA de supprimer le plan de chasse et l'agrainage sur tout le département. La situation sanitaire avec la tuberculose était bien évidement au programme. Fabrice Faivre dressait un bilan positif de cette première rencontre avec la préfète : [I]«même si Anne Boquet vient des Yvelines, un département beaucoup moins agricole que le nôtre, nous l'avons sentie très intéressée et à notre écoute, c'est un premier pas»[i].
La seconde est une exploitation mixte à faibles potentiels céréaliers, avec un élevage allaitant et de nombreux dégâts de gibier. Le compte-rendu de ces deux visites seront dans la prochaine édition de Terres de Bourgogne.
[INTER]Rendez-vous à la préfecture[inter]
Une délégation agricole composée de Fabrice Faivre, Jean Bertrand, Emmanuel Raillard, Laurent Garnier, Dominique Guyon, Jean-Luc Loison et Sébastien Gautier s'était préalablement rendue à la préfecture la semaine dernière à Dijon. L'objectif était double pour la FDSEA : présenter ses différents membres et sensibiliser la nouvelle préfète aux problématiques de l'agriculture côte d'orienne.
Le rendez-vous a duré environ une heure et demi. Quatre autres personnes entouraient Anne Boquet: Cécile Legrand (sous-préfète de Montbard), Evelyne Guyon (sous-préfète de Beaune) ainsi que Jean-Luc Linard (directeur départemental des territoires) et Pierre Aubert (directeur départemental de la protection des populations).
[INTER]Anne Boquet «très intéressée»[inter]
Une présentation du département avec toutes les productions et de leurs problématiques actuelles ont été présentées par les responsables de la FDSEA. [I]«Nous avons ensuite insisté sur la notion de zone intermédiaire»[i] relate le président Fabrice Faivre, avant d'aborder la problématique des dégâts de gibier et les demandes de la FDSEA de supprimer le plan de chasse et l'agrainage sur tout le département. La situation sanitaire avec la tuberculose était bien évidement au programme. Fabrice Faivre dressait un bilan positif de cette première rencontre avec la préfète : [I]«même si Anne Boquet vient des Yvelines, un département beaucoup moins agricole que le nôtre, nous l'avons sentie très intéressée et à notre écoute, c'est un premier pas»[i].