Zone défavorisée simple
La FDSEA ne lâchera pas
Le 12 avril, Stéphane Le Foll réuni une nouvelle fois les représentants des organisations agricoles et les régions pour proposer de nouvelles simulations de classement en zones défavorisées. Si des avancées ont été obtenues, cela reste insuffisant pour nous.
D’abord, si elles sont validées, les nouvelles simulations pourraient réintégrer onze communes du Val de Saône (Auvillars, Bonnencontre, Broin, Glanon, Jallanges, Labergement-lès-Seurre, Pagny-le-Château, Pouilly-sur-Saône, Seurre, Talmay et Trugny). Nos demandes, appuyées par la mobilisation de terrain, des exploitants et des maires notamment, ont enfin été entendues.
D’autre part, les participants à cette rencontre reconnaissent que des zones de certains départements, dont la Côte-d’Or, restent des points de blocage. Il est acté que ces territoires, identifiés comme devant légitimement être intégrés au zonage, devront être traités dans le cadre de critères «territoriaux».
C’est plutôt une bonne chose et peut nous laisser espérer faire entrer en ZDS les deux communes oubliées du Val de Saône, le Tonnerrois et les Hautes-Côtes. Cela signifie que nos actions sont justifiées et nos arguments pertinents.
Pourtant, nous regrettons, puisque tout le monde s’accorde à reconnaître la légitimité de nos demandes, que ces territoires n’aient pas simplement été intégrés lors de cette réunion. Aussi, nous restons vigilants tant qu’aucune certitude sur les propositions de cartes n’aura été établie, ni tant que les précisions sur les critères «territoriaux» n’auront pas été apportées et assureront l’intégration du Tonnerrois et des Hautes-Côtes.
Lors de cette réunion, un report en 2018 de l’application de cette nouvelle ICHN, et en particulier de ce nouveau zonage a été acté et doit être validé par l’Europe. La FDSEA de Côte-d’Or entend bien utiliser ce nouveau délai pour obtenir gain de cause. La mobilisation de chacun doit continuer.
D’autre part, les participants à cette rencontre reconnaissent que des zones de certains départements, dont la Côte-d’Or, restent des points de blocage. Il est acté que ces territoires, identifiés comme devant légitimement être intégrés au zonage, devront être traités dans le cadre de critères «territoriaux».
C’est plutôt une bonne chose et peut nous laisser espérer faire entrer en ZDS les deux communes oubliées du Val de Saône, le Tonnerrois et les Hautes-Côtes. Cela signifie que nos actions sont justifiées et nos arguments pertinents.
Pourtant, nous regrettons, puisque tout le monde s’accorde à reconnaître la légitimité de nos demandes, que ces territoires n’aient pas simplement été intégrés lors de cette réunion. Aussi, nous restons vigilants tant qu’aucune certitude sur les propositions de cartes n’aura été établie, ni tant que les précisions sur les critères «territoriaux» n’auront pas été apportées et assureront l’intégration du Tonnerrois et des Hautes-Côtes.
Lors de cette réunion, un report en 2018 de l’application de cette nouvelle ICHN, et en particulier de ce nouveau zonage a été acté et doit être validé par l’Europe. La FDSEA de Côte-d’Or entend bien utiliser ce nouveau délai pour obtenir gain de cause. La mobilisation de chacun doit continuer.