FDSEA - JA
La communication sur le métier, c’est cet été !
100 personnes : c’est le nombre de participants à la première fête des moissons de l’année qui s’est déroulée à Neuffontaines le 6 juin. 100 personnes qui repartent de ces moments d’échange convivial avec une idée plus juste et positive de notre métier au quotidien, 100 personnes qui regarderont avec bienveillance nos pratiques, 100 personnes qui prêteront attention à la provenance des produits qu’ils achètent…
Pour toutes ces raisons, le réseau FDSEA et JA se mobilise aux côtés d’Agridemain et organise encore 6 fêtes cet été !
Pour toutes ces raisons, le réseau FDSEA et JA se mobilise aux côtés d’Agridemain et organise encore 6 fêtes cet été !
La fête des moissons et des récoltes est un moment convivial à partager avec nos voisins, ruraux ou citadins, pour leur faire partager la réalité de nos métiers. Au travers d’un apéro, d’une balade dans les parcelles ou d’un simple échange sous les bâtiments, les adhérents FDSEA et JA s’engagent pour faire partager leur fierté de nourrir et expliquer leurs gestes quotidiens.
Enjeu : reprendre la main sur notre communication
Car le meilleur communicant sur le métier, c’est l’agriculteur ! Pratiques de cultures, soins aux animaux, passion du métier, gestion des risques sur l’exploitation, stratégie de commercialisation : toutes les dimensions du métier sont l’occasion de découvertes pour le grand public. D’autant que les agriculteurs bénéficient d’une bonne image auprès des Français. 80 % des Français font confiance aux agriculteurs pour les informer sur la qualité des produits alimentaires, alors que le taux de confiance vis-à-vis des médias ne dépasse pas 35 % (Source : IPSOS Respect’IN Nov 2013, projet CASDAR ACCEPT 2014-2017).
FDSEA 58
Enjeu : reprendre la main sur notre communication
Car le meilleur communicant sur le métier, c’est l’agriculteur ! Pratiques de cultures, soins aux animaux, passion du métier, gestion des risques sur l’exploitation, stratégie de commercialisation : toutes les dimensions du métier sont l’occasion de découvertes pour le grand public. D’autant que les agriculteurs bénéficient d’une bonne image auprès des Français. 80 % des Français font confiance aux agriculteurs pour les informer sur la qualité des produits alimentaires, alors que le taux de confiance vis-à-vis des médias ne dépasse pas 35 % (Source : IPSOS Respect’IN Nov 2013, projet CASDAR ACCEPT 2014-2017).
FDSEA 58
Le mot du président de la FDSEA, Stéphane Aurousseau
- Pouvez-vous nous présenter le principe d’#Agri Demain ?
Stéphane Aurousseau : « #Agri Demain c’est avant tout une opération de communication qui vise à présenter le métier tel qu’il est au travers de rendez-vous chez des exploitants agricoles. Dans ce domaine, il y a ceux qui disent, et ceux qu’ils le font. Et nous, agriculteurs, sommes les mieux placés pour parler de notre métier. L’objectif est également de reprendre la main sur les fausses images qui sont véhiculées quotidiennement par les grands médias ».
- À qui s’adresse cette journée ?
S.A. : « Elle s’adresse à la fois au grand public désireux d’informations et d’explications sur la manière de travailler. Mais aussi aux agriculteurs qui cherchent des solutions pour parler positivement de leur métier. Car il y a plusieurs canaux, comme la présence au Salon de l’agriculture ou les réseaux sociaux par exemple. #Agri Demain est l’un des moyens de contacts directs avec nos futurs consommateurs. À titre d’exemple, si 10 % des agriculteurs se mettaient à communiquer sur les réseaux sociaux, nous serions l’un des groupes les plus influant sur la toile. C’est donc qu’il y a un véritable enjeu à bien savoir parler de nos métiers ».
- Vous êtes l’un des fers de lance de cette fête des moissons. Nous sommes aujourd’hui à la troisième édition, quels sont les faits marquants depuis son démarrage selon vous ?
S.A. : « Ce qu’il faut noter, c’est que les participants sont des gens intéressés. Ils posent des questions et sont bienveillants avec nous. Nous sommes loin des attitudes radicales de certains groupes comme les végans. C’est pour moi un exercice de réassurance, mais qui est nécessaire. Ce qu’il faut absolument c’est conserver dans notre camp ce type de personnes et les convaincre du bien-fondé notre métier.
Par ailleurs, je me félicite que cette fête des moissons grandisse d’années en années. Nous avons commencé lors de la première édition avec un ou deux rendez-vous, nous en sommes à six pour cette troisième édition. Nous sommes de ce fait le premier département en nombre de rendez-vous pour #Agri demain. Nous devons continuer car la Nièvre, par son modèle agricole et son système d’élevage, est en phase avec les attentes sociétales des consommateurs ».
Stéphane Aurousseau : « #Agri Demain c’est avant tout une opération de communication qui vise à présenter le métier tel qu’il est au travers de rendez-vous chez des exploitants agricoles. Dans ce domaine, il y a ceux qui disent, et ceux qu’ils le font. Et nous, agriculteurs, sommes les mieux placés pour parler de notre métier. L’objectif est également de reprendre la main sur les fausses images qui sont véhiculées quotidiennement par les grands médias ».
- À qui s’adresse cette journée ?
S.A. : « Elle s’adresse à la fois au grand public désireux d’informations et d’explications sur la manière de travailler. Mais aussi aux agriculteurs qui cherchent des solutions pour parler positivement de leur métier. Car il y a plusieurs canaux, comme la présence au Salon de l’agriculture ou les réseaux sociaux par exemple. #Agri Demain est l’un des moyens de contacts directs avec nos futurs consommateurs. À titre d’exemple, si 10 % des agriculteurs se mettaient à communiquer sur les réseaux sociaux, nous serions l’un des groupes les plus influant sur la toile. C’est donc qu’il y a un véritable enjeu à bien savoir parler de nos métiers ».
- Vous êtes l’un des fers de lance de cette fête des moissons. Nous sommes aujourd’hui à la troisième édition, quels sont les faits marquants depuis son démarrage selon vous ?
S.A. : « Ce qu’il faut noter, c’est que les participants sont des gens intéressés. Ils posent des questions et sont bienveillants avec nous. Nous sommes loin des attitudes radicales de certains groupes comme les végans. C’est pour moi un exercice de réassurance, mais qui est nécessaire. Ce qu’il faut absolument c’est conserver dans notre camp ce type de personnes et les convaincre du bien-fondé notre métier.
Par ailleurs, je me félicite que cette fête des moissons grandisse d’années en années. Nous avons commencé lors de la première édition avec un ou deux rendez-vous, nous en sommes à six pour cette troisième édition. Nous sommes de ce fait le premier département en nombre de rendez-vous pour #Agri demain. Nous devons continuer car la Nièvre, par son modèle agricole et son système d’élevage, est en phase avec les attentes sociétales des consommateurs ».