FDSEA 21
«L'agriculture évolue, le syndicalisme aussi»
L'assemblée générale de la FDSEA de Côte d'Or se tiendra le lundi 7 mars au lycée agricole de Quetigny. Le secrétaire général Jean Bertrand annonce l'évènement.
[G]Quelles sont vos attentes pour ce nouveau grand rendez-vous ?[g]
[I]«Nous voulons rassembler un maximum de paysans pour réfléchir et avancer sur le thème que nous avons choisi. Celui-ci est basé sur la place du syndicalisme de demain et s'intitule «L'agriculture évolue, le syndicalisme aussi». Nous voulons connaître les nouvelles attentes de nos adhérents, les actions qu'ils attendent de la FDSEA dans les prochaines années. Nous sommes à leur écoute et nous voulons que tout le monde soit en phase. Et vu que l'assemblée est ouverte à tout le monde, j'attends également de voir des non-adhérents. Qu'ils viennent nous dire pour quelles raisons ils ne cotisent pas. Ensemble, nous débattrons sur le syndicalisme des prochaines années».[i]
[G]Pour quelles raisons avoir choisi ce thème ?[g]
[I]«La FDSEA a une puissance d'action qui mérite d'être renforcée. Si l'on veut peser davantage sur les décisions, il nous faut une FDSEA forte. Plus nous aurons d'adhérents et plus nous aurons les moyens de discuter. L'agriculture évolue, on le voit bien dans les systèmes de production, les coûts de production, les modes de commercialisation, le désengagement de l'Europe, l'organisation des producteurs... Sur tous ces sujets, nous pensons que la FDSEA doit être présente pour défendre l'intérêt des producteurs. Le débat sera donc très important en ce sens. On le voit bien, on ne se défend plus de la même manière. Les agriculteurs attendent sans doute autre chose de la FDSEA. Quand la FDSEA défend les producteurs, il faut bien comprendre qu'elle défend également la filière. Pour une production donnée, si le nombre d'agriculteurs baisse de moitié, il en est de même pour les coopératives et autres organismes agricoles».[i]
[G]Quel sera le programme de la journée ?[g]
[I]«Après la partie statutaire et l'intervention du président Fabrice Faivre, nous présenterons le rapport d'activités. L'assemblée est l'occasion de faire le point sur les avancées syndicales de l'année écoulée. Le grand débat aura ensuite lieu avec la participation de Christiane Lambert, la 1ère vice-présidente de la FNSEA, avec, comme évoqué précédemment, la place du syndicalisme dans les prochaines années. Christiane Lambert vient du Maine-et-Loire, un département dans lequel le syndicalisme est historiquement et culturellement fort. Son expérience et ses témoignages seront sans doute enrichissants, de même que sa vision nationale. Christiane Lambert présentera plusieurs études menées au niveau de la FNSEA sur le syndicalisme de demain. En fin d'assemblée, Antoine Daurelle interviendra au nom des Jeunes agriculteurs».[i]
[I]«Nous voulons rassembler un maximum de paysans pour réfléchir et avancer sur le thème que nous avons choisi. Celui-ci est basé sur la place du syndicalisme de demain et s'intitule «L'agriculture évolue, le syndicalisme aussi». Nous voulons connaître les nouvelles attentes de nos adhérents, les actions qu'ils attendent de la FDSEA dans les prochaines années. Nous sommes à leur écoute et nous voulons que tout le monde soit en phase. Et vu que l'assemblée est ouverte à tout le monde, j'attends également de voir des non-adhérents. Qu'ils viennent nous dire pour quelles raisons ils ne cotisent pas. Ensemble, nous débattrons sur le syndicalisme des prochaines années».[i]
[G]Pour quelles raisons avoir choisi ce thème ?[g]
[I]«La FDSEA a une puissance d'action qui mérite d'être renforcée. Si l'on veut peser davantage sur les décisions, il nous faut une FDSEA forte. Plus nous aurons d'adhérents et plus nous aurons les moyens de discuter. L'agriculture évolue, on le voit bien dans les systèmes de production, les coûts de production, les modes de commercialisation, le désengagement de l'Europe, l'organisation des producteurs... Sur tous ces sujets, nous pensons que la FDSEA doit être présente pour défendre l'intérêt des producteurs. Le débat sera donc très important en ce sens. On le voit bien, on ne se défend plus de la même manière. Les agriculteurs attendent sans doute autre chose de la FDSEA. Quand la FDSEA défend les producteurs, il faut bien comprendre qu'elle défend également la filière. Pour une production donnée, si le nombre d'agriculteurs baisse de moitié, il en est de même pour les coopératives et autres organismes agricoles».[i]
[G]Quel sera le programme de la journée ?[g]
[I]«Après la partie statutaire et l'intervention du président Fabrice Faivre, nous présenterons le rapport d'activités. L'assemblée est l'occasion de faire le point sur les avancées syndicales de l'année écoulée. Le grand débat aura ensuite lieu avec la participation de Christiane Lambert, la 1ère vice-présidente de la FNSEA, avec, comme évoqué précédemment, la place du syndicalisme dans les prochaines années. Christiane Lambert vient du Maine-et-Loire, un département dans lequel le syndicalisme est historiquement et culturellement fort. Son expérience et ses témoignages seront sans doute enrichissants, de même que sa vision nationale. Christiane Lambert présentera plusieurs études menées au niveau de la FNSEA sur le syndicalisme de demain. En fin d'assemblée, Antoine Daurelle interviendra au nom des Jeunes agriculteurs».[i]
