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Aménagement du territoire

Gazoduc Val de Saône: début des relevés topographiques

Dans le cadre du projet de construction du Gazoduc Val de Saône une nouvelle phase de travaux s’engage avec le début des relevés topographiques.

Par Ma signature
Gazoduc Val de Saône: début des relevés topographiques
Les géomètres disposent des piquets destinés à visualiser le tracé sur le terrain.

GRTgaz engage la phase des relevés topographiques, sur toute la longueur du projet de gazoduc Val de Saône. Réalisés par des géomètres travaillant sous le pilotage de GRTgaz, ces relevés permettent de préciser l’environnement de la future canalisation et de recenser les propriétaires des parcelles concernées.

 

Dans le département de la Côte d’Or, l’intervention des géomètres sur le terrain se déroulera d’octobre 2014 à février 2015. La Chambre d’agriculture est partie prenante à ce dossier depuis le début du projet. Elle est particulièrement vigilante sur trois points essentiels pour les parcelles et les agriculteurs concernés : le draînage, le tri des terres et les indemnisations. Toutes les opérations en cours font donc l’objet d’un suivi étroit avec GRTgaz.

 

Le déroulement des opérations

Les géomètres parcourent les parcelles à pied et disposent des piquets pour visualiser le tracé sur le terrain. Ces données serviront à élaborer des plans au 1/2000, sur lesquels figureront les routes, les cours d’eau, les bâtiments, les parcelles et l’ensemble des éléments se trouvant à proximité de la future canalisation.

 

Chaque propriétaire, et chaque exploitant, des parcelles concernées recevra au préalable un courrier d’information personnalisé de GRTgaz, qui précisera notamment le calendrier et les coordonnées d’un interlocuteur pour ces relevés.

 

Le projet Val de Saône concerne la construction d’une canalisation de transport de gaz naturel entre Etrez dans l’Ain et Voisines en Haute-Marne sur environ 190 kilomètres. Il facilitera l’accès à de nouvelles voies d’approvisionnement et renforcera la sécurité d’alimentation en gaz naturel de la France et de l’Europe. Il permettra également  le développement des nouvelles capacités de transit afin d’améliorer le fonctionnement du réseau de transport de gaz naturel, dans la perspective de la fusion des zones de marché Nord et Sud en France.