Calamités agricoles
FDSEA 21 : Profession sauveteur
Les responsables professionnels de la FDSEA de Côte d'Or n'ont pas la notoriété et la plastique des sauveteurs d'Alerte à Malibu, je vous l'accorde aisément. Malgré tout, quand début mai environ 20 000 ha de cultures et de prairies se sont retrouvées sous l'eau plusieurs jours voire semaines, c'est le réseau FDSEA-JA qui a enfilé le maillot " en place du bleu de chauffe, circonstances obligent " pour accompagner les agriculteurs sinistrés.
C'est donc bien la FDSEA, les JA et les élus de la Chambre d'agriculture issus du syndicat majoritaire qui se sont déplacés sur le terrain, accompagnés entre autre par Monsieur le Préfet ou Joël Limouzin, vice président de la FNSEA en charge du dossier gestion des risques et calamités. C'est aussi la Chambre d'Agriculture, la FDSEA et les JA qui ont initié un mouvement de solidarité entre agriculteurs pour la mise à disposition de fourrages notamment. C'est l'action de la FDSEA, des JA et de la Chambre d'agriculture qui aura également permis d'activer le cas de circonstances exceptionnelles sur tout le département permettant des assouplissements dans le cadre de la PAC. Une goutte d'eau pour certains ? Peut être...Mais avant tout la base de la défense syndicale !
Le travail de fonds du réseau Chambre d'agriculture-FDSEA-JA aura également payé pour la reconnaissance de calamités agricoles. La brassée de mission d'enquête terrain a permis de constituer de solides dossiers qui en cette mi-octobre ont été retenus par le Comité national de gestion des risques en agriculture. Nous pouvons vous annoncer que le CNGRA a validé une indemnisation prévisionnelle de plus d'un million d'euros pour le secteur maraîcher côte d'orien et plus spécifiquement pour les pertes de récolte sur asperges, carottes, céleris, raves, choux de printemps, épinards, fraises, haricots, oignons, salades, tomates, autres légumes, plantes aromatiques et pertes de fonds sur chenillettes et tunnels maraîchers. Enveloppe qui espérons, permettra à ces productions de sortir la tête de l'eau.
Malheureusement sur les pommes de terre aucune solution spécifique n'a encore été obtenue. Notre action syndicale doit se poursuivre pour tenter d'apporter des solutions concrètes pour les producteurs du Val de Saône. Nous ne pouvons accepter que cette production reste à quai !
Enfin, la dernière bouée lancée, concernant le dégrèvement de la Taxe sur le Foncier Non Bâti, est en bonne passe de déboucher favorablement. Les échanges avec les services fiscaux nous laissent espérer qu'un dégrèvement collectif pourra aboutir dans les prochaines semaines.
Notre mission, c'est aussi de tirer les leçons de cet épisode et donner des perspectives aux agriculteurs. La FDSEA21 milite pour le développement de l'assurance récolte et invite les agriculteurs à l'utiliser pour sécuriser leurs systèmes d'exploitation. C'est pourquoi, nous devons continuer à travailler pour la rendre plus efficace pour le plus grand nombre. Nous continuons aussi de militer pour une véritable politique d'entretien des fossés et cours d'eau, qui nous permette de redevenir de véritables gestionnaires de nos territoires !
Ne faisons donc pas l'erreur de nous contenter de nos acquis et de vendre du rêve aux agriculteurs, avec des effets d'annonces de façades dignes des séries américaines. Soyez convaincus que le réseau FDSEA-JA préfère apporter des solutions concrètes et efficaces aux producteurs du département pour donner des perspectives d'avenir aux «belles plantes» qui poussent dans nos champs !
C'est donc bien la FDSEA, les JA et les élus de la Chambre d'agriculture issus du syndicat majoritaire qui se sont déplacés sur le terrain, accompagnés entre autre par Monsieur le Préfet ou Joël Limouzin, vice président de la FNSEA en charge du dossier gestion des risques et calamités. C'est aussi la Chambre d'Agriculture, la FDSEA et les JA qui ont initié un mouvement de solidarité entre agriculteurs pour la mise à disposition de fourrages notamment. C'est l'action de la FDSEA, des JA et de la Chambre d'agriculture qui aura également permis d'activer le cas de circonstances exceptionnelles sur tout le département permettant des assouplissements dans le cadre de la PAC. Une goutte d'eau pour certains ? Peut être...Mais avant tout la base de la défense syndicale !
Le travail de fonds du réseau Chambre d'agriculture-FDSEA-JA aura également payé pour la reconnaissance de calamités agricoles. La brassée de mission d'enquête terrain a permis de constituer de solides dossiers qui en cette mi-octobre ont été retenus par le Comité national de gestion des risques en agriculture. Nous pouvons vous annoncer que le CNGRA a validé une indemnisation prévisionnelle de plus d'un million d'euros pour le secteur maraîcher côte d'orien et plus spécifiquement pour les pertes de récolte sur asperges, carottes, céleris, raves, choux de printemps, épinards, fraises, haricots, oignons, salades, tomates, autres légumes, plantes aromatiques et pertes de fonds sur chenillettes et tunnels maraîchers. Enveloppe qui espérons, permettra à ces productions de sortir la tête de l'eau.
Malheureusement sur les pommes de terre aucune solution spécifique n'a encore été obtenue. Notre action syndicale doit se poursuivre pour tenter d'apporter des solutions concrètes pour les producteurs du Val de Saône. Nous ne pouvons accepter que cette production reste à quai !
Enfin, la dernière bouée lancée, concernant le dégrèvement de la Taxe sur le Foncier Non Bâti, est en bonne passe de déboucher favorablement. Les échanges avec les services fiscaux nous laissent espérer qu'un dégrèvement collectif pourra aboutir dans les prochaines semaines.
Notre mission, c'est aussi de tirer les leçons de cet épisode et donner des perspectives aux agriculteurs. La FDSEA21 milite pour le développement de l'assurance récolte et invite les agriculteurs à l'utiliser pour sécuriser leurs systèmes d'exploitation. C'est pourquoi, nous devons continuer à travailler pour la rendre plus efficace pour le plus grand nombre. Nous continuons aussi de militer pour une véritable politique d'entretien des fossés et cours d'eau, qui nous permette de redevenir de véritables gestionnaires de nos territoires !
Ne faisons donc pas l'erreur de nous contenter de nos acquis et de vendre du rêve aux agriculteurs, avec des effets d'annonces de façades dignes des séries américaines. Soyez convaincus que le réseau FDSEA-JA préfère apporter des solutions concrètes et efficaces aux producteurs du département pour donner des perspectives d'avenir aux «belles plantes» qui poussent dans nos champs !