Orges
Étincel débute plutôt bien
Un agriculteur du canton de Seurre se satisfait de sa nouvelle variété d’escourgeon.

Cyril Fleury a commencé de faucher ses 16 hectares d’orges d’hiver le 23 juin. Ce polyculteur-éleveur résidant à Labergement-lès-Seurre a changé de variété cette année et ne semble pas mécontent de ses premiers rendements : [I]«J’ai opté pour Étincel au lieu d’Esterel. Les premiers résultats donnent 75q/ha. Je m’en sors plutôt bien même si le champ concerné pouvait promettre beaucoup plus. Il a beaucoup souffert de l’humidité en fin d’année 2013 et du sec au printemps»[i] commente Cyril Fleury.
La paille semble être au rendez-vous dans ce même endroit : [I]«je suis dans une moyenne positive. Un ami qui a des terres similaires pas loin d’ici et qui a conservé Esterel fait deux fois moins de paille et le rendement est moindre de 6 à 7 q/ha. Étincel a l’air de tenir ses promesses jusqu’ici»[i]. La déception vient en revanche de la qualité. [I]«Il n’y a pas du tout de protéines. Le champ a pourtant reçu 135 unités comme d’habitude»[i] signale le Côte d’Orien, [I]«la sonde annonce 6,5... Autant il ne faut pas faire plus de 11,5 pour être en brassicole autant là, ce n’est vraiment pas assez et la récolte va passer en fourrager»[i].
[INTER]Belles promesses pour le colza[inter]
Les récoltes de blé et de colza arriveront prochainement. La [I]«casse»[i] risque d’être largement limitée là-aussi. [I]«C’est loin d’être vilain en blé malgré les quelques jours d’échaudage, j’espère faire 75q/ha»[i] confie Cyril Fleury, [I]«ici, nous avons des terres hydromorphes qui craignent l’humidité donc on s’en sors plutôt bien. A l’inverse, si le printemps n’avait pas été aussi sec, on aurait pu tabler sur 10q/ha supplémentaires à mon avis»[i]. Le colza est quant à lui très prometteur et les rendements devraient approcher 40q/ha au lieu d’une moyenne de 30q/ha ces dernières années : [I]«c’est la culture qui sera la plus belle, ça changera des 15 à 20q/ha de 2013, année durant laquelle les pieds de colza étaient dans l’eau»[i]. Cyril Fleury s’inquiète davantage pour ses maïs et prairies : [I]«là, il faut absolument qu’il tombe 40 mm...On affourrage les vaches partout dans les prés depuis deux semaines, d’habitude on commence vers le 15 août alors on a deux mois d’avance. Concernant le maïs, on tiendra encore 15 jours sans eau. Après, ça risque de sérieusement se compliquer...»[i]
La paille semble être au rendez-vous dans ce même endroit : [I]«je suis dans une moyenne positive. Un ami qui a des terres similaires pas loin d’ici et qui a conservé Esterel fait deux fois moins de paille et le rendement est moindre de 6 à 7 q/ha. Étincel a l’air de tenir ses promesses jusqu’ici»[i]. La déception vient en revanche de la qualité. [I]«Il n’y a pas du tout de protéines. Le champ a pourtant reçu 135 unités comme d’habitude»[i] signale le Côte d’Orien, [I]«la sonde annonce 6,5... Autant il ne faut pas faire plus de 11,5 pour être en brassicole autant là, ce n’est vraiment pas assez et la récolte va passer en fourrager»[i].
[INTER]Belles promesses pour le colza[inter]
Les récoltes de blé et de colza arriveront prochainement. La [I]«casse»[i] risque d’être largement limitée là-aussi. [I]«C’est loin d’être vilain en blé malgré les quelques jours d’échaudage, j’espère faire 75q/ha»[i] confie Cyril Fleury, [I]«ici, nous avons des terres hydromorphes qui craignent l’humidité donc on s’en sors plutôt bien. A l’inverse, si le printemps n’avait pas été aussi sec, on aurait pu tabler sur 10q/ha supplémentaires à mon avis»[i]. Le colza est quant à lui très prometteur et les rendements devraient approcher 40q/ha au lieu d’une moyenne de 30q/ha ces dernières années : [I]«c’est la culture qui sera la plus belle, ça changera des 15 à 20q/ha de 2013, année durant laquelle les pieds de colza étaient dans l’eau»[i]. Cyril Fleury s’inquiète davantage pour ses maïs et prairies : [I]«là, il faut absolument qu’il tombe 40 mm...On affourrage les vaches partout dans les prés depuis deux semaines, d’habitude on commence vers le 15 août alors on a deux mois d’avance. Concernant le maïs, on tiendra encore 15 jours sans eau. Après, ça risque de sérieusement se compliquer...»[i]