Chasse
Encore quelques heures et c’est parti
Dimanche, c’est l’ouverture de la chasse. Rencontre avec un passionné habitant Arnay-le-Duc.
La période d’ouverture générale de la chasse à tir est fixée du 18 septembre au 28 février pour le département de la Côte d’Or. Le tout premier rendez-vous de la saison se déroulera donc dimanche matin pour plusieurs milliers d’adeptes. «Ce sera un plaisir d’y retourner, comme chaque année» confie Mickaël Thierry, à Arnay-le-Duc.
L’homme de 43 ans attend ce moment avec impatience depuis plusieurs semaines. Passionné de grand gibier, l’Arnétois aura à cœur de revivre des moments riches en émotions en pleine nature. «Pour moi, le meilleur moment est celui où l’on voit arriver un sanglier près de soi, poursuivi par une meute de chiens. Ce sont des moments très intenses» confie Mickaël Thierry. Son plus beau souvenir date d’une dizaine d’années dans une société jurassienne : le chasseur avait eu la chance de prélever un magnifique mâle armé accusant le poids de 130 kg. «C’est de très loin le plus beau sanglier que j’ai tué à ce jour. Les derniers ne dépassaient pas les 70 kg» indique Mickaël Thierry. Son bilan de la saison écoulée s’élevait à trois sangliers et deux chevreuils, de même que plusieurs perdrix et faisans tués en début d’exercice. Le Côte d’Orien reconnaît ne pas avoir d’idée très précise sur l’évolution des niveaux de populations de grand gibier depuis la fermeture du 29 février : «ce sera un peu la surprise pour moi. Il est vrai que j’ai pris un peu de recul en optant pour ma seconde passion qui est la pêche ! Elle me permet d’être au contact de la nature tout au long de l’année».
L’homme de 43 ans attend ce moment avec impatience depuis plusieurs semaines. Passionné de grand gibier, l’Arnétois aura à cœur de revivre des moments riches en émotions en pleine nature. «Pour moi, le meilleur moment est celui où l’on voit arriver un sanglier près de soi, poursuivi par une meute de chiens. Ce sont des moments très intenses» confie Mickaël Thierry. Son plus beau souvenir date d’une dizaine d’années dans une société jurassienne : le chasseur avait eu la chance de prélever un magnifique mâle armé accusant le poids de 130 kg. «C’est de très loin le plus beau sanglier que j’ai tué à ce jour. Les derniers ne dépassaient pas les 70 kg» indique Mickaël Thierry. Son bilan de la saison écoulée s’élevait à trois sangliers et deux chevreuils, de même que plusieurs perdrix et faisans tués en début d’exercice. Le Côte d’Orien reconnaît ne pas avoir d’idée très précise sur l’évolution des niveaux de populations de grand gibier depuis la fermeture du 29 février : «ce sera un peu la surprise pour moi. Il est vrai que j’ai pris un peu de recul en optant pour ma seconde passion qui est la pêche ! Elle me permet d’être au contact de la nature tout au long de l’année».
