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Syndicalisme

En Côte-d'Or, la FDSEA mesure les avancées et pointe ce qui coince

L'assemblée générale de la FDSEA 21 a reflété les questionnements qui traversent le syndicalisme majoritaire agricole et même, plus largement, l'importance de la notion d'engagement. C'était aussi le premier exercice du genre pour Antoine Carré, le nouveau président.

Par Berty Robert
En Côte-d'Or, la FDSEA mesure les avancées et pointe ce qui coince
Antoine Carré (à gauche) nouveau président de la FDSEA 21, en compagnie de Yohann Barbe, porte-parole de la FNSEA.

Le 23 avril dernier, Damien Greffin, vice-président de la FNSEA en charge du dossier de la transformation du syndicat agricole majoritaire, soulignait « qu'il n'y a plus de débat en interne sur la nécessité de mener ce dossier à bien. Les résultats mitigés des élections ont achevé de convaincre ceux qui étaient encore sceptiques. » L’objectif est donc aujourd'hui d’adapter la FNSEA à un contexte politique, géopolitique, économique et social en perpétuelle évolution. Ces questionnements, ils traversent l'organisation syndicale à tous les niveaux et l'assemblée générale de la FDSEA 21, le 25 avril à Saint-Julien, au nord de Dijon, s'en faisait l'écho. En présence de Yohann Barbe, producteur laitier vosgien et porte-parole de la FNSEA, et du nouveau président de la FDSEA 21, Antoine Carré, les résultats des dernières élections aux Chambres d'agriculture et, plus globalement, la place du syndicalisme agricole dans un contexte national et internati...

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