Charolais
Deux Côte d’oriens au Mans
Nicolas Guenot et Thibaut Malnoury étaient les seuls représentants du département au concours national.

Du 11 au 13 septembre se déroulait le concours national adultes de la race charolaise. Ce rendez-vous organisé dans la Sarthe était suivi par deux élevages de Côte d’Or. Nicolas Guenot, du village d’Allerey entre Arnay-le-Duc et Pouilly-en-Auxois, présentait trois animaux.
Élise, une vache de six ans, remporte un premier prix de section et un premier prix de synthèse, soit exactement le même bilan que lors de l’édition 2014 organisée à Magny-Cours. Le jeune éleveur de 26 ans présentait également Intégral, un taureau de 30 mois en copropriété avec son père exerçant dans le département de la Nièvre. La bête remporte elle aussi un premier prix comme l’an passé.
Troisième et dernier animal en lice : Jonquille, une génisse de deux ans, qui obtient un troisième prix. Thibaut Malnoury, du Gaec de Saint-Roch à Recey-sur-Ource, était du déplacement avec Houblon, un taureau en copropriété avec l’EARL Touillon Moiron de la Nièvre qui remporte un deuxième prix de section. Ce même bovin a contribué à la victoire de l’EARL Touillon Moiron dans le prix d’ensemble des grands élevages.
Nombreux l’an passé à Magny-Cours, les élevages du «21» se sont faits relativement rares à cette édition, «sans doute à cause de la distance et de la conjoncture» suggère l’élevage Guenot, finalement «relativement satisfait» du voyage : «le problème est toujours le même : si l’on ne se déplace pas, on se fait oublier et pour vendre il faut se montrer... Il y a eu des contacts avec des éleveurs de la Sarthe, cela reste donc positif pour nous même si les complications devraient se multiplier avec la FCO».
Thibaut Malnoury reconnaît avoir eu une interrogation en considérant l’impact de la sécheresse : «Nous y sommes finalement allés car la présence du taureau était nécessaire pour le prix d’ensemble, la question ne s’est donc pas posée longtemps. La distance ne doit pas nous freiner quand le concours est itinérant, cela est un moment privilégié d’avoir de nouveaux contacts avec d’éventuels clients. Il faut généralement des animaux dans le premier tiers des sections pour être remarqués».
Élise, une vache de six ans, remporte un premier prix de section et un premier prix de synthèse, soit exactement le même bilan que lors de l’édition 2014 organisée à Magny-Cours. Le jeune éleveur de 26 ans présentait également Intégral, un taureau de 30 mois en copropriété avec son père exerçant dans le département de la Nièvre. La bête remporte elle aussi un premier prix comme l’an passé.
Troisième et dernier animal en lice : Jonquille, une génisse de deux ans, qui obtient un troisième prix. Thibaut Malnoury, du Gaec de Saint-Roch à Recey-sur-Ource, était du déplacement avec Houblon, un taureau en copropriété avec l’EARL Touillon Moiron de la Nièvre qui remporte un deuxième prix de section. Ce même bovin a contribué à la victoire de l’EARL Touillon Moiron dans le prix d’ensemble des grands élevages.
Nombreux l’an passé à Magny-Cours, les élevages du «21» se sont faits relativement rares à cette édition, «sans doute à cause de la distance et de la conjoncture» suggère l’élevage Guenot, finalement «relativement satisfait» du voyage : «le problème est toujours le même : si l’on ne se déplace pas, on se fait oublier et pour vendre il faut se montrer... Il y a eu des contacts avec des éleveurs de la Sarthe, cela reste donc positif pour nous même si les complications devraient se multiplier avec la FCO».
Thibaut Malnoury reconnaît avoir eu une interrogation en considérant l’impact de la sécheresse : «Nous y sommes finalement allés car la présence du taureau était nécessaire pour le prix d’ensemble, la question ne s’est donc pas posée longtemps. La distance ne doit pas nous freiner quand le concours est itinérant, cela est un moment privilégié d’avoir de nouveaux contacts avec d’éventuels clients. Il faut généralement des animaux dans le premier tiers des sections pour être remarqués».