Groupama PVL
Des start-up icaunaises hébergées sur le site d’Axuerre
Groupama Paris Val de Loire héberge depuis la rentrée dernière, 3 start-up, dans son établissement auxerrois, nouvellement rénové.
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de Groupama Paris Val de Loire.
Ce sont des locataires d’un nouveau genre, qui sont accueillis depuis septembre dernier, dans les locaux du siège Auxerrois de l’assureur mutualiste, rue Guynemer à Auxerre, qui a profité de la rénovation de son bâtiment, pour héberger 3 start-up du département. Ou plutôt, comme l’a rappelé le francophile invétéré qu’est Philippe Renoux, Président des Caisses Locales et Vice-Président de Groupama PVL : «des entreprise qui se caractérisent par de l’innovation et un fort potentiel de croissance !» L’appel à candidatures a permis, en partenariat avec le réseau BGE Nièvre Yonne, de sélectionner trois «jeunes pousses» icaunaises qui, pour un loyer symbolique, sont désormais installées dans un espace de travail dédié, baptisé Groupama Up, avec tous les moyens matériels et humains mis à disposition pour leur développement. La démonstration, souligne Philippe Renoux, «d’un ancrage territorial en dépassant les frontières de notre métier, pour faire vivre notre région…» Les trois entreprises ainsi sélectionnées sont : Météo 89, société de prévisions météorologiques à destination notamment des collectivités, des agriculteurs et des viticulteurs ; Thermibat, dont l’activité vise les économies d’énergies dans le bâtiment ; SG Conseil Formation Coaching, cabinet de conseils à l’attention d’associations, collectivités, entrepreneurs et grand public.
Une initiative, souligne Jacques Blanchot, directeur de l’établissement auxerrois, née de la «Charte Entreprise et Quartiers» signée l’an passé, en partenariat avec le Commissariat Général à l’Egalité des Territoires, qui visait à aider les jeunes entrepreneurs issus de quartiers sensibles. Faute de candidatures dans le département, le choix a été fait d’élargir le cercle de recherches à l’ensemble des start-up icaunaises. Présent dans les locaux auxerrois de la rue Guynemer, lors de la soirée inaugurale du 20 octobre dernier, le directeur général de Groupama PVL, Eric Gelpe a rappelé un contexte historique : «en hébergeant ces jeunes pousses, nous le faisons dans la continuité de ce qu’on fait les aïeux de Groupama, au milieu du 19e siècle, des agriculteurs qui se sont pris en main pour se sécuriser en protégeant leurs activités et animer leur territoire…» Pas de bail pour les 3 start-up retenues, mais une convention de mise à disposition d’un an reconductible, avec l’objectif précise Philippe Renoux, «de rester peu de temps car être une start-up est une étape temporaire et du fait de votre croissance rapide, vous deviendrez vite à l’étroit dans nos murs. C’est tout le mal qu’on vous souhaite !» C’est au final, d’ici la fin de l’année, une dizaine d’entreprises, qui seront ainsi hébergées : à Auxerre, Tours, Amiens et Blois.
Une initiative, souligne Jacques Blanchot, directeur de l’établissement auxerrois, née de la «Charte Entreprise et Quartiers» signée l’an passé, en partenariat avec le Commissariat Général à l’Egalité des Territoires, qui visait à aider les jeunes entrepreneurs issus de quartiers sensibles. Faute de candidatures dans le département, le choix a été fait d’élargir le cercle de recherches à l’ensemble des start-up icaunaises. Présent dans les locaux auxerrois de la rue Guynemer, lors de la soirée inaugurale du 20 octobre dernier, le directeur général de Groupama PVL, Eric Gelpe a rappelé un contexte historique : «en hébergeant ces jeunes pousses, nous le faisons dans la continuité de ce qu’on fait les aïeux de Groupama, au milieu du 19e siècle, des agriculteurs qui se sont pris en main pour se sécuriser en protégeant leurs activités et animer leur territoire…» Pas de bail pour les 3 start-up retenues, mais une convention de mise à disposition d’un an reconductible, avec l’objectif précise Philippe Renoux, «de rester peu de temps car être une start-up est une étape temporaire et du fait de votre croissance rapide, vous deviendrez vite à l’étroit dans nos murs. C’est tout le mal qu’on vous souhaite !» C’est au final, d’ici la fin de l’année, une dizaine d’entreprises, qui seront ainsi hébergées : à Auxerre, Tours, Amiens et Blois.
