Grandes cultures
Des regrets et des projets
Vendredi dernier, Jean-Luc Gennerat, président de la section grandes cultures de la FDSEA réunissait la commission pour un point d’actualité et mettre en place le programme des réunions hivernales.
Crédit carbone : la FD fait son benchmarking !
Issu du protocole de Kyoto (1995) pour réguler le réchauffement climatique, un marché des droits à polluer a mis en place un schéma assez simple… de grandes entreprises qui ne réalisent pas un bilan carbone positif, entre autres gaz à effet de serre, doivent abonder dans des fonds en payant une taxe carbone. Ces fonds sont ensuite décernés à des «organisations» qui réalisent un bilan carbone positif. À l’instar du travail réalisé par les maisons de l’élevage sur une méthode appelée «Carbon Agri» qui permet aux éleveurs de bénéficier de financements au titre du stockage de carbone, la section végétale a lancé aussi une réflexion sur ce sujet. Quelles peuvent être les pistes à développer afin que «les grandes cultures» puissent aussi bénéficier de la labélisation carbone pour rentrer dans la même démarche ? La FD lance donc un nouveau projet qui va amener ses adhérents à rencontrer les instituts techniques du végétal, des porteurs de projets «carbone», en vue d’évaluer le potentiel de développement dans le département.
PAC 2020
La Pac est en pleine révision, si le calendrier se précise, il est encore un peu tôt pour dessiner quels seront les futurs arbitrages européens puis nationaux. Dans cette attente, la FRSEA commence à travailler sur les différentes orientations de la nouvelle programmation dans le but de défendre l’agriculture de la région et plus particulièrement mettre en avant les zones intermédiaires. Au travers de la présentation de ce premier travail réalisé par la région, la section végétale de la FDSEA a ainsi pris connaissance ce que pourrait être la future PAC telle qu’elle est aujourd’hui souhaitée par le commissaire européen à l’agriculture et les marges de manœuvre offertes.
ZNT
La section regrette le climat actuel de défiance entretenu via les médias par les alarmistes de tout poil qui cherchent à surfer sur des angoisses pour gagner une élection. Il suffit de regarder une bordure de champs pour constater que les agriculteurs sont extrêmement professionnels et traitent à quelques centimètres près. Les adhérents de la FDSEA sont déterminés à faire entendre leur professionnalisme, y compris s’il le faut en allant à nouveau dans la rue pour se faire entendre plus fort.
La diversité des sujets évoqués en section végétale de la FDSEA sera approfondie lors des prochaines réunions entre fin novembre et mi-février.
Issu du protocole de Kyoto (1995) pour réguler le réchauffement climatique, un marché des droits à polluer a mis en place un schéma assez simple… de grandes entreprises qui ne réalisent pas un bilan carbone positif, entre autres gaz à effet de serre, doivent abonder dans des fonds en payant une taxe carbone. Ces fonds sont ensuite décernés à des «organisations» qui réalisent un bilan carbone positif. À l’instar du travail réalisé par les maisons de l’élevage sur une méthode appelée «Carbon Agri» qui permet aux éleveurs de bénéficier de financements au titre du stockage de carbone, la section végétale a lancé aussi une réflexion sur ce sujet. Quelles peuvent être les pistes à développer afin que «les grandes cultures» puissent aussi bénéficier de la labélisation carbone pour rentrer dans la même démarche ? La FD lance donc un nouveau projet qui va amener ses adhérents à rencontrer les instituts techniques du végétal, des porteurs de projets «carbone», en vue d’évaluer le potentiel de développement dans le département.
PAC 2020
La Pac est en pleine révision, si le calendrier se précise, il est encore un peu tôt pour dessiner quels seront les futurs arbitrages européens puis nationaux. Dans cette attente, la FRSEA commence à travailler sur les différentes orientations de la nouvelle programmation dans le but de défendre l’agriculture de la région et plus particulièrement mettre en avant les zones intermédiaires. Au travers de la présentation de ce premier travail réalisé par la région, la section végétale de la FDSEA a ainsi pris connaissance ce que pourrait être la future PAC telle qu’elle est aujourd’hui souhaitée par le commissaire européen à l’agriculture et les marges de manœuvre offertes.
ZNT
La section regrette le climat actuel de défiance entretenu via les médias par les alarmistes de tout poil qui cherchent à surfer sur des angoisses pour gagner une élection. Il suffit de regarder une bordure de champs pour constater que les agriculteurs sont extrêmement professionnels et traitent à quelques centimètres près. Les adhérents de la FDSEA sont déterminés à faire entendre leur professionnalisme, y compris s’il le faut en allant à nouveau dans la rue pour se faire entendre plus fort.
La diversité des sujets évoqués en section végétale de la FDSEA sera approfondie lors des prochaines réunions entre fin novembre et mi-février.
