Soreal
Des portes ouvertes sur l’avenir
Au terme de quatre ans de travaux, le groupe Soreal a créé l’évènement en ouvrant deux jours durant, les portes de son site Jovinien aux exploitants de la région, ainsi qu’aux élèves et enseignants du milieu agricole.

L’organisation de ces deux «Journées Défis» était une première pour Soreal, avec au programme, des visites guidées de l’usine de Joigny, un salon plein air regroupant une trentaine de partenaires liés aux filières animales, mais également des conférences animées par des professionnels et coopératives, comme Cocorette, Alyse, Cialyn-Sicarev ou Sodiaal.
Né il y a 18 ans, de la fusion de deux sociétés de production situées à Joigny et à Vonnas dans l’Ain, le groupe Soreal compte aujourd’hui 3 activités : la nutrition animale, l’élevage et le négoce d’animaux, ainsi que la logistique autour du transport d’aliments et animaux via sa filiale Logivia. Au total, ce sont 220 000 tonnes d’aliments qui sortent chaque année des 3 usines du groupe. Sur le site de Joigny, 75 000 tonnes sont ainsi commercialisées annuellement, soit un potentiel de fabrication de 350 à 400 t/jour, pour une taille moyenne de 7,5 t par lot. Plus de 30 matières premières utilisées, au premier rang desquelles : du blé, de l’orge, du maïs et du colza en provenance essentiellement du département de l’Yonne. Une fabrication à flux tendu, pour une livraison sous 3 à 4 jours après commande, réalisée à partir de 900 formules différentes, au plus près des particularités spécifiques de chaque élevage.
Pour Johan Marcon, responsable du site, ces « Journées Défis » visaient un double objectif : «faire visiter l’usine à nos clients et partenaires, à l’issue de cette seconde tranche de travaux qui auront nécessité 2,5 Millions €, mais aussi d’offrir un lieu de rencontres et d’échanges à des céréaliers désireux de se diversifier, grâce à la trentaine de partenaires présents». Se refusant à jouer la carte de la morosité, Johan Marcon souhaite redonner le goût de l’élevage et la notion de filière aux exploitants en mal de diversification : «bonnes pour faire du pré, les terres de fond de vallées ne le sont pas forcément pour faire du blé, ou alors une année sur cinq…Il y a aujourd’hui une vraie demande de la part de nos coopératives actionnaires, pour inciter à diversifier les sources de revenus sur les exploitations et nous avons la chance dans l’Yonne, ou en toute proximité, d’avoir de l’industrie, des céréales, des abattoirs et l’idée est bien d’être un département fort en matière de production animale».
Né il y a 18 ans, de la fusion de deux sociétés de production situées à Joigny et à Vonnas dans l’Ain, le groupe Soreal compte aujourd’hui 3 activités : la nutrition animale, l’élevage et le négoce d’animaux, ainsi que la logistique autour du transport d’aliments et animaux via sa filiale Logivia. Au total, ce sont 220 000 tonnes d’aliments qui sortent chaque année des 3 usines du groupe. Sur le site de Joigny, 75 000 tonnes sont ainsi commercialisées annuellement, soit un potentiel de fabrication de 350 à 400 t/jour, pour une taille moyenne de 7,5 t par lot. Plus de 30 matières premières utilisées, au premier rang desquelles : du blé, de l’orge, du maïs et du colza en provenance essentiellement du département de l’Yonne. Une fabrication à flux tendu, pour une livraison sous 3 à 4 jours après commande, réalisée à partir de 900 formules différentes, au plus près des particularités spécifiques de chaque élevage.
Pour Johan Marcon, responsable du site, ces « Journées Défis » visaient un double objectif : «faire visiter l’usine à nos clients et partenaires, à l’issue de cette seconde tranche de travaux qui auront nécessité 2,5 Millions €, mais aussi d’offrir un lieu de rencontres et d’échanges à des céréaliers désireux de se diversifier, grâce à la trentaine de partenaires présents». Se refusant à jouer la carte de la morosité, Johan Marcon souhaite redonner le goût de l’élevage et la notion de filière aux exploitants en mal de diversification : «bonnes pour faire du pré, les terres de fond de vallées ne le sont pas forcément pour faire du blé, ou alors une année sur cinq…Il y a aujourd’hui une vraie demande de la part de nos coopératives actionnaires, pour inciter à diversifier les sources de revenus sur les exploitations et nous avons la chance dans l’Yonne, ou en toute proximité, d’avoir de l’industrie, des céréales, des abattoirs et l’idée est bien d’être un département fort en matière de production animale».