Cultures
Des bons espoirs pour le maÏs ?
On récolte actuellement le maÏs dans le Val de Saône. Les premières impressions sont plutôt bonnes.

Les moissonneuses reviennent en nombre dans les champs, là où le maÏs est important. C'est notamment le cas dans le Val de Saône.
Thomas Bergerot, agriculteur à Lanthes, dans le canton de Seurre, est en pleine récolte, comme beaucoup d'autres céréaliers. [I]«àa risque d'être aussi bien que l'an passé, sinon mieux»[i] indique t-il au terme de ses 10 premiers hectares récoltés. Un rendement de 100q/ha a été obtenu dans des terres pas forcément les meilleures de l'exploitation. [I]«Avec toutes les précipitations du printemps et du début d'été, je pense que certaines parcelles approcheront 120q/ha. Nous verrons bien. En 2011, c'était beaucoup plus compliqué: les semis étaient très hétérogènes et le maÏs avait végété au printemps»[i] enchaîne le Seurrois de 36 ans. L'agenda est plutôt chargé en ce moment : [I]«Tout se cumule. Il faut récolter le maÏs tout en semant le blé et la moutarde. Ma sole de blé atteint 82 hectares cette année, soit 18 de plus qu'en 2011. Ces hectares supplémentaires correspondent à du blé gelé que j'ai ressemé en maÏs»[i].
La récolte est programmée durant trois semaines à raison de trois jours hebdomadaires. Thomas Bergerot espère que le temps [I]«va s'y prêter, tout en pouvant semer les blés dans de bonnes conditions»[i]. Cet été, des rendements [I]«dans la moyenne des dernières années»[i] ont déjà été enregistrés dans ses autres principales cultures que sont le blé, l'orge et le colza.
La mauvaise note de l'année est à mettre à l'actif de la moutarde qui a dû être re-semée au printemps et qui n'a donné que la moitié du rendement escompté (11 au lieu de 22q/ha).
Thomas Bergerot, agriculteur à Lanthes, dans le canton de Seurre, est en pleine récolte, comme beaucoup d'autres céréaliers. [I]«àa risque d'être aussi bien que l'an passé, sinon mieux»[i] indique t-il au terme de ses 10 premiers hectares récoltés. Un rendement de 100q/ha a été obtenu dans des terres pas forcément les meilleures de l'exploitation. [I]«Avec toutes les précipitations du printemps et du début d'été, je pense que certaines parcelles approcheront 120q/ha. Nous verrons bien. En 2011, c'était beaucoup plus compliqué: les semis étaient très hétérogènes et le maÏs avait végété au printemps»[i] enchaîne le Seurrois de 36 ans. L'agenda est plutôt chargé en ce moment : [I]«Tout se cumule. Il faut récolter le maÏs tout en semant le blé et la moutarde. Ma sole de blé atteint 82 hectares cette année, soit 18 de plus qu'en 2011. Ces hectares supplémentaires correspondent à du blé gelé que j'ai ressemé en maÏs»[i].
La récolte est programmée durant trois semaines à raison de trois jours hebdomadaires. Thomas Bergerot espère que le temps [I]«va s'y prêter, tout en pouvant semer les blés dans de bonnes conditions»[i]. Cet été, des rendements [I]«dans la moyenne des dernières années»[i] ont déjà été enregistrés dans ses autres principales cultures que sont le blé, l'orge et le colza.
La mauvaise note de l'année est à mettre à l'actif de la moutarde qui a dû être re-semée au printemps et qui n'a donné que la moitié du rendement escompté (11 au lieu de 22q/ha).