CFPPA Auxerre La Brosse
De nouveaux diplômés en viticulture et en agriculture
Les nouveaux diplômés BPA et BPREA du Centre de Formation Professionnelle et de Promotion Agricole se sont vus remettre leur diplôme
Chaque année, plus de 600 adultes viennent en formation au CFPPA d’Auxerre la Brosse, pour un volume d’activité supérieur à 20 000 heures stagiaire par an. L’agriculture, la viticulture et l’œnologie tiennent depuis longtemps une place importante dans les domaines de compétence du Centre. Avec à la clé, de nombreux diplômés qui, pour la plupart, n’ont aucune difficulté à trouver un emploi, tant la demande est grande en la matière.
Une petite cérémonie de remise de diplômes s’est déroulée au sein de l’établissement, le 8 novembre dernier, à laquelle assistait une quinzaine de lauréats, ainsi que leurs anciens formateurs et le directeur du CFPPA Frédéric Bellat.
Au total, à l’issue de cette nouvelle session, 22 diplômes ont été décernés : 4 en BPA travaux de la Vigne, 2 en BPREA Viti/Œnologie, 10 en formation continue et 6 en 2ème année d’apprentissage agricole. [I]«Un bon crû»[i] selon le directeur de l’établissement. Employé chez son ancien maître d’apprentissage avant une installation prévue au printemps prochain, salarié en CDI au sein d’une exploitation agricole du sénonais, salarié en CDD sur un domaine viticole… : les différents témoignages attestent du bon niveau d’intégration sur le marché du travail. Et même lorsque le projet initial a avorté, la formation apportée sait être bénéfique : à l’image de Cendrine qui, faute de s’installer en agriculture, est devenue gérante d’un tabac épicerie presse, grâce notamment à la formation de gestion suivie dans le cadre de son cursus.
Pierre lui a la cinquantaine passée. Ancien chef d’entreprise parisien, c’est en dégustant un Clos-Vougot chez son frère que l’idée lui est venue de changer de vie et se lancer dans l’exploitation de vignes ! Profitant pour cela d’une propriété familiale en Forterre, à Sougères en Puisaye. Autorisation d’exploiter et droits de plantation en poche, ne lui manquait que le BPREA pour débuter l’aventure ! C’est désormais chose faite. Les pieds sont déjà commandés et seront plantés en mars prochain : [I]«la terre de Forterre est identique à celle que l’on trouve de la Champagne jusqu’en sancerrois. C’est le même sous-sol. Il n’y a pas de raison qu’on ne puisse y faire de très bons vins… !»[i] Sauvignon, Pinot Noir, Chardonnay, Pinot blanc, Pinot Gris, César…
Les cépages sont multiples pour des assemblages personnalisés. Reste à faire aussi bien qu’un Clos-Vougeot !
Une petite cérémonie de remise de diplômes s’est déroulée au sein de l’établissement, le 8 novembre dernier, à laquelle assistait une quinzaine de lauréats, ainsi que leurs anciens formateurs et le directeur du CFPPA Frédéric Bellat.
Au total, à l’issue de cette nouvelle session, 22 diplômes ont été décernés : 4 en BPA travaux de la Vigne, 2 en BPREA Viti/Œnologie, 10 en formation continue et 6 en 2ème année d’apprentissage agricole. [I]«Un bon crû»[i] selon le directeur de l’établissement. Employé chez son ancien maître d’apprentissage avant une installation prévue au printemps prochain, salarié en CDI au sein d’une exploitation agricole du sénonais, salarié en CDD sur un domaine viticole… : les différents témoignages attestent du bon niveau d’intégration sur le marché du travail. Et même lorsque le projet initial a avorté, la formation apportée sait être bénéfique : à l’image de Cendrine qui, faute de s’installer en agriculture, est devenue gérante d’un tabac épicerie presse, grâce notamment à la formation de gestion suivie dans le cadre de son cursus.
Pierre lui a la cinquantaine passée. Ancien chef d’entreprise parisien, c’est en dégustant un Clos-Vougot chez son frère que l’idée lui est venue de changer de vie et se lancer dans l’exploitation de vignes ! Profitant pour cela d’une propriété familiale en Forterre, à Sougères en Puisaye. Autorisation d’exploiter et droits de plantation en poche, ne lui manquait que le BPREA pour débuter l’aventure ! C’est désormais chose faite. Les pieds sont déjà commandés et seront plantés en mars prochain : [I]«la terre de Forterre est identique à celle que l’on trouve de la Champagne jusqu’en sancerrois. C’est le même sous-sol. Il n’y a pas de raison qu’on ne puisse y faire de très bons vins… !»[i] Sauvignon, Pinot Noir, Chardonnay, Pinot blanc, Pinot Gris, César…
Les cépages sont multiples pour des assemblages personnalisés. Reste à faire aussi bien qu’un Clos-Vougeot !
