Banc d’essais moteurs
De l’argent facile à économiser
Des journées de diagnostics banc d’essais moteur sont de nouveau organisées en Côte d’Or.
L’antenne Côte d’Or de la Fédération Cuma Bourgogne prépare ses prochaines journées diagnostics banc d’essais moteur. Comme en 2016, trois sessions seront organisées au cours de l’année. Le premier rendez-vous sera donné du 2 au 5 mai dans le Châtillonnais. «Les deux premières journées se dérouleront sur le site du lycée La Barotte, les deux jours suivants se passeront au silo de Poinçon-lès-Larrey» informe le conseiller Fabrice Maitrot. Les deux autres sessions se dérouleront fin septembre à Liernais, dans les locaux de la MFR Auxois Sud Morvan puis en novembre dans le secteur beaunois et seurrois.
Divers dysfonctionnements
Anciens ou neufs, tous les engins peuvent être concernés par un dysfonctionnement. Passer son tracteur au banc permet de connaitre les plages de régimes idéales suivant les travaux, mieux connaître son besoin réel en puissance, vérifier les performances ou déceler un manque de puissance éventuel, comme l’indique le conseiller de la Cuma : «le coût d’un banc d’essai est infime dans le prix de revient du tracteur. Nous le conseillons au moins une fois dans la vie du tracteur, idéalement avant la fin de la période de garantie. Sur la session 2016, 57% des tracteurs développent une puissance conforme à l’origine, c’est-à-dire un écart de puissance compris entre -5% et +5%. Sur les tracteurs récents, si nous observons en configuration d’origine moins de tracteurs surpuissants ou sous-puissants en comparaison aux anciennes séries, le nombre de tracteurs récents équipés de boîtier additionnel ou de reprogrammation est lui en augmentation. D’un point de vue mécanique, nous conseillons de limiter l’augmentation de puissance à 10-15% maximum. Plus de la moitié des tracteurs reprogrammés sont au-delà de ce seuil, certains vont jusqu’à +30%. Au-delà des risques mécaniques et de la perte de garantie constructeur, cette modification entraine la perte de l’homologation du tracteur pour la circulation routière».
Des soutiens financiers
Soixante-dix tracteurs ont été passés au banc l’an passé, pour un total de dix journées d’essais. L’antenne Côte d’Or est en capacité de recevoir une centaine de tracteurs sur l’ensemble des trois cessions 2017. Les soutiens financiers du Conseil départemental et de l’Ademe permettent aux agriculteurs de ne payer que 60 euros le diagnostic, soit une économie de 50%. Contact : fabrice.maitrot@cuma.fr et 06 25 00 71 48.
Divers dysfonctionnements
Anciens ou neufs, tous les engins peuvent être concernés par un dysfonctionnement. Passer son tracteur au banc permet de connaitre les plages de régimes idéales suivant les travaux, mieux connaître son besoin réel en puissance, vérifier les performances ou déceler un manque de puissance éventuel, comme l’indique le conseiller de la Cuma : «le coût d’un banc d’essai est infime dans le prix de revient du tracteur. Nous le conseillons au moins une fois dans la vie du tracteur, idéalement avant la fin de la période de garantie. Sur la session 2016, 57% des tracteurs développent une puissance conforme à l’origine, c’est-à-dire un écart de puissance compris entre -5% et +5%. Sur les tracteurs récents, si nous observons en configuration d’origine moins de tracteurs surpuissants ou sous-puissants en comparaison aux anciennes séries, le nombre de tracteurs récents équipés de boîtier additionnel ou de reprogrammation est lui en augmentation. D’un point de vue mécanique, nous conseillons de limiter l’augmentation de puissance à 10-15% maximum. Plus de la moitié des tracteurs reprogrammés sont au-delà de ce seuil, certains vont jusqu’à +30%. Au-delà des risques mécaniques et de la perte de garantie constructeur, cette modification entraine la perte de l’homologation du tracteur pour la circulation routière».
Des soutiens financiers
Soixante-dix tracteurs ont été passés au banc l’an passé, pour un total de dix journées d’essais. L’antenne Côte d’Or est en capacité de recevoir une centaine de tracteurs sur l’ensemble des trois cessions 2017. Les soutiens financiers du Conseil départemental et de l’Ademe permettent aux agriculteurs de ne payer que 60 euros le diagnostic, soit une économie de 50%. Contact : fabrice.maitrot@cuma.fr et 06 25 00 71 48.
Rendez-vous le 10 mai à Champdôtre
La journée annuelle des Cuma de Côte d’Or se tiendra mercredi 10 mai à partir de 9h30 à Champdôtre, à la Cuma Fertichamp. La thématique de la pulvérisation sera notamment abordée.
