Concours des prairies fleuries
De jolies fleurs, mais pas que...
La remise des prix du concours de prairies fleuries (concours général agricole) s’est déroulée le 7 juin dernier, à la mairie de Chivres. Arnaud Guillien, de l’EARL de la Croze, a reçu le premier prix et participera à la finale nationale.

Créé en 2010, à l’initiative des Parcs nationaux français et des Parcs naturels régionaux, le concours des prairies fleuries s’inscrit depuis 2014 dans le cadre du concours général agricole.
Le concours des prairies fleuries récompense les efforts des éleveurs pour atteindre le meilleur équilibre agri-écologique en fonction de leurs contraintes et de leurs objectifs de production.
Seuls les éleveurs en activité peuvent participer à ce concours. Les parcelles engagées doivent être des surfaces agricoles utiles qui participent directement au fonctionnement fourrager de l’exploitation.
Ces herbages naturels doivent être riches en espèces, destinés à la fauche ou au pâturage. Sont appréciées, la diversité et la richesse floristique qui favorisent la diversité faunistique. Le concours met à l’honneur le lien «qualité des prairies/qualité des produits», ce qui joue favorablement sur la promotion et la commercialisation des produits des éleveurs récompensés.
En Côte d’Or, quatre exploitations participaient au concours des prairies fleuries et le jury a visité quatre parcelles, toutes situées sur la commune de Chivres et appartenant à Arnaud Guillien, Benoît Chapuis, Régis Niot, Aurélien Viellard. Pour tous ces éleveurs, il s’agit pas seulement de présenter des surfaces ornées de jolies petites fleurs des champs.
Ce qui est visé c’est la multifonctionnalité des prairies et la mise en place de pratiques la favorisant. Quant au jury, c’est justement ce qu’il doit apprécier : la fonctionnalité de la prairie, sa productivité, sa valeur alimentaire, sa fonctionnalité écologique, le renouvellement de la diversité végétale, la valeur apicole...
En un mot, le jury apprécie le savoir-faire de l’éleveur par rapport à ses contraintes et ses objectifs de production. Les visites de parcelles se sont effectuées le 3 juin et la remise des prix s’est déroulée le 7 juin dans le cadre d’une cérémonie organisée et soutenue par le Conseil départemental, la Chambre d’agriculture de Côte d’Or assurant l’animation et l’organisation du concours.
Chaque éleveur a présenté son exploitation et ses parcelles, expliqué le rôle de la prairie dans son assolement et évalué ses choix et ses pratiques.
Le concours des prairies fleuries récompense les efforts des éleveurs pour atteindre le meilleur équilibre agri-écologique en fonction de leurs contraintes et de leurs objectifs de production.
Seuls les éleveurs en activité peuvent participer à ce concours. Les parcelles engagées doivent être des surfaces agricoles utiles qui participent directement au fonctionnement fourrager de l’exploitation.
Ces herbages naturels doivent être riches en espèces, destinés à la fauche ou au pâturage. Sont appréciées, la diversité et la richesse floristique qui favorisent la diversité faunistique. Le concours met à l’honneur le lien «qualité des prairies/qualité des produits», ce qui joue favorablement sur la promotion et la commercialisation des produits des éleveurs récompensés.
En Côte d’Or, quatre exploitations participaient au concours des prairies fleuries et le jury a visité quatre parcelles, toutes situées sur la commune de Chivres et appartenant à Arnaud Guillien, Benoît Chapuis, Régis Niot, Aurélien Viellard. Pour tous ces éleveurs, il s’agit pas seulement de présenter des surfaces ornées de jolies petites fleurs des champs.
Ce qui est visé c’est la multifonctionnalité des prairies et la mise en place de pratiques la favorisant. Quant au jury, c’est justement ce qu’il doit apprécier : la fonctionnalité de la prairie, sa productivité, sa valeur alimentaire, sa fonctionnalité écologique, le renouvellement de la diversité végétale, la valeur apicole...
En un mot, le jury apprécie le savoir-faire de l’éleveur par rapport à ses contraintes et ses objectifs de production. Les visites de parcelles se sont effectuées le 3 juin et la remise des prix s’est déroulée le 7 juin dans le cadre d’une cérémonie organisée et soutenue par le Conseil départemental, la Chambre d’agriculture de Côte d’Or assurant l’animation et l’organisation du concours.
Chaque éleveur a présenté son exploitation et ses parcelles, expliqué le rôle de la prairie dans son assolement et évalué ses choix et ses pratiques.
Un jury local très éclectique
La composition du jury reflète les exigences du concours dans différents domaines complémentaires. Edouard Benayas de la Chambre d’agriculture 21 participait au jury pour le domaine «agronomie, fourrage», Guillaume Doucet, au titre du CEN Bourgogne pour «écologie et botanique», Simon-Pierre Babski pour LPO 21 dans le cadre « apiculture, faune sauvage » et Luc Joliet, agriculteur en retraite, qui présidait le jury. A ce titre, le mot de la fin lui est revenu : «Toutes les parcelles visitées sont menées de façon remarquable, vis-à-vis des contraintes qu’elles subissent. Les exploitants, par l’usage agricole qu’ils en font, expriment bien le potentiel de ces parcelles, ce qui leur confère un bon équilibre agro-écologique». Comme observateurs, la Chambre d’agriculture de Côte d’Or avait délégué Géraldine Ducellier et Christophe Benas et le Conseil départemental, Laure Leysen.