Coopérative agricole
Cerepy adhère à Union Est Agro
Un nouveau directeur, un nouveau président, l'adhésion à l'Union de coopératives «Union Est Agro» : la coopérative de Saint-Julien-du-Sault débute l'année 2011 sous le signe du changement.

Depuis le départ en retraite, il y a quelques semaines, de Jean-Michel Thiault, son directeur «historique», la coopérative Cerepy a nommé pour lui succéder, Germain Bour, qui avait jusqu'alors en charge la responsabilité des achats au sein de l'entreprise. A nouveau directeur, nouveau président ! C'est désormais Laurent Poncet, exploitant à Bussy en Othe, qui présidera le Conseil d'administration de la coopérative, en remplacement de Frédéric Jugnot, président «historique» lui aussi, qui occupait la fonction depuis la création de Cerepy et avait annoncé son départ il y a un an.
[INTER]Adhésion à Union Est Agro[inter]
Leader sur sa zone d'activité des «vallées de l'Yonne», avec plus de 50% de parts de marchés, la coopérative, par le biais de son Conseil d'administration, vient de voter l'adhésion à l'union de coopératives «Union Est Agro». Une alliance qui est [I]«l'aboutissement d'un important travail de réflexion mené depuis 2 ans et qui traduit la volonté de rendre notre coopérative plus performante, sur un marché de plus en plus concurrentiel»[i], selon son nouveau directeur, Germain Bour. L'essentiel à ses yeux, dans un contexte de massification des achats au niveau national, étant de [I]«ne pas prendre le risque de rester sur le bord de la route vis-à-vis de nos adhérents»[i]. L'objectif recherché étant bien de conforter leur revenu, par la recherche de compétitivité économique, tout en préservant une politique de proximité, de qualité, de services et d'expertise technique.
Classée parmi les 5 premières centrales d'achat sur l'hexagone, Union Est Agro a séduit Cerepy par sa puissance d'achat. D'autres critères ont conforté la coopérative dans sa décision : accompagnement sur un certain nombre de services agronomiques, outils d'aide à la décision, services logistiques et administratifs (facturation centralisée), etc... Une mutualisation de moyens qui à terme, permettra une meilleure optimisation des collaborateurs de l'entreprise.
[INTER]Démarrage des travaux du port de Joigny[inter]
Un rapprochement considéré plus comme une [I]«complémentarité»[i], selon les dirigeants de Cerepy, pour qui l'important était bien de conserver ses prérogatives, notamment, sur la mise en marché : [I]«sur ce point, nous gardons une indépendance totale vis-à-vis de nos adhérents, en aucun cas l'UEA n'interviendra car ce n'est pas leur métier ! De même, nous conservons la façon dont on décline les services ou la tarification. On garde toute la notion de territorialité et ça, c'est important, on ne change rien sur l'identité de Cerepy face à ses adhérents !»[i]. Une réflexion sera poursuivie sur d'éventuelles stratégies d'alliance concernant la commercialisation de céréales.
L'actualité immédiate pour Cerepy : le quai de chargement du port de Joigny, dont les travaux démarreront le 24 janvier prochain. Porteur du projet, en collaboration avec la Communauté de communes de
Joigny, la coopérative mise sur ces nouvelles installations pour accentuer l'ouverture sur le port de Rouen et le nord de l'Europe, en renforçant la part du fluvial dans ses expéditions (aujourd'hui à parité avec le fer et la route).
[INTER]Adhésion à Union Est Agro[inter]
Leader sur sa zone d'activité des «vallées de l'Yonne», avec plus de 50% de parts de marchés, la coopérative, par le biais de son Conseil d'administration, vient de voter l'adhésion à l'union de coopératives «Union Est Agro». Une alliance qui est [I]«l'aboutissement d'un important travail de réflexion mené depuis 2 ans et qui traduit la volonté de rendre notre coopérative plus performante, sur un marché de plus en plus concurrentiel»[i], selon son nouveau directeur, Germain Bour. L'essentiel à ses yeux, dans un contexte de massification des achats au niveau national, étant de [I]«ne pas prendre le risque de rester sur le bord de la route vis-à-vis de nos adhérents»[i]. L'objectif recherché étant bien de conforter leur revenu, par la recherche de compétitivité économique, tout en préservant une politique de proximité, de qualité, de services et d'expertise technique.
Classée parmi les 5 premières centrales d'achat sur l'hexagone, Union Est Agro a séduit Cerepy par sa puissance d'achat. D'autres critères ont conforté la coopérative dans sa décision : accompagnement sur un certain nombre de services agronomiques, outils d'aide à la décision, services logistiques et administratifs (facturation centralisée), etc... Une mutualisation de moyens qui à terme, permettra une meilleure optimisation des collaborateurs de l'entreprise.
[INTER]Démarrage des travaux du port de Joigny[inter]
Un rapprochement considéré plus comme une [I]«complémentarité»[i], selon les dirigeants de Cerepy, pour qui l'important était bien de conserver ses prérogatives, notamment, sur la mise en marché : [I]«sur ce point, nous gardons une indépendance totale vis-à-vis de nos adhérents, en aucun cas l'UEA n'interviendra car ce n'est pas leur métier ! De même, nous conservons la façon dont on décline les services ou la tarification. On garde toute la notion de territorialité et ça, c'est important, on ne change rien sur l'identité de Cerepy face à ses adhérents !»[i]. Une réflexion sera poursuivie sur d'éventuelles stratégies d'alliance concernant la commercialisation de céréales.
L'actualité immédiate pour Cerepy : le quai de chargement du port de Joigny, dont les travaux démarreront le 24 janvier prochain. Porteur du projet, en collaboration avec la Communauté de communes de
Joigny, la coopérative mise sur ces nouvelles installations pour accentuer l'ouverture sur le port de Rouen et le nord de l'Europe, en renforçant la part du fluvial dans ses expéditions (aujourd'hui à parité avec le fer et la route).
Cerepy en quelques chiffres
350 adhérents
8 implantations dans l'Yonne
40 salariés
CA : 40 millions €
167 000 tonnes collectées lors du dernier exercice
CA appro produits phyo :
12,5 millions €