Portes-ouvertes Arvalis - Institut du végétal
Blé: 2015 s’annonçait comme «un nouveau record»
Arvalis – Institut du végétal organisait vendredi 12 juin sa journée porte ouverte annuelle sur sa plateforme d’essais de Rouvres-en-Plaine destinée aux cultures de blé. L’occasion pour Luc Pelcé, ingénieur régional chez Arvalis, de dresser un premier état des lieux de la campagne en cours.
La saison des visites d’essais de plein champs touche à sa fin. Après celles des coopératives, négociants et autres plateformes expérimentales des différents services techniques des Chambres d’agriculture, ce fût au tour d’Arvalis – Institut du végétal d’ouvrir ses portes le vendredi 12 juin dernier sur le site de Rouvres-en-Plaine destinée aux cultures de blé. Si la matinée était réservée à réunir les différents techniciens de la région, l’après midi fut quant à elle ouverte aux agriculteurs.
«Beaucoup de grains»
La visite était organisée selon trois ateliers thématiques : l’aspect génétique (collection de 40 variétés de blé) ; le parcours de fertilisation azotée (doses, fractionnement, pilotage...) ; l’application des différents scénarios dans le cadre du projet BOP (blé objectif protéines).
En avant-propos des différentes thématiques, Luc Pelcé, ingénieur régional d’Arvalis, a dressé un bilan provisoire de la campagne en cours. «Jusqu’à il y a trois semaines, nous nous avancions vers un nouveau record !» a-t-il lancé avec son franc-parler. «Il y a beaucoup de grains au mètre carré cette année» constatait Luc Pelcé. «La douceur des températures entre les semis et la mi-janvier a contribué à produire de la biomasse, synonyme de développement du nombre d’épis. Ensuite, le mois de mars a offert un fort rayonnement, favorable à la fertilité des épis». Une combinaison de facteurs qui a produit une grande quantité de grains.
Et Luc Pelcé de rappeler que «le nombre de grains contribue pour 85% au rendement final».
Le début du mois de mai, sec et surtout très chaud, a malheureusement marqué un coup d’arrêt à cette belle ascension. En effet, selon l’ingénieur régional «ce coup de chaleur à limité la taille des sacs». Nous n’auront donc pas le record escompté. «C’est dommage, certes, mais cela reste bien». Luc Pelcé s’est dit «plutôt optimiste pour la moisson à venir». Reste à attendre confirmation aux alentours des 26-27 juin, alors que «la maturité physiologique sera terminée et que les rendements seront fixés».
«Beaucoup de grains»
La visite était organisée selon trois ateliers thématiques : l’aspect génétique (collection de 40 variétés de blé) ; le parcours de fertilisation azotée (doses, fractionnement, pilotage...) ; l’application des différents scénarios dans le cadre du projet BOP (blé objectif protéines).
En avant-propos des différentes thématiques, Luc Pelcé, ingénieur régional d’Arvalis, a dressé un bilan provisoire de la campagne en cours. «Jusqu’à il y a trois semaines, nous nous avancions vers un nouveau record !» a-t-il lancé avec son franc-parler. «Il y a beaucoup de grains au mètre carré cette année» constatait Luc Pelcé. «La douceur des températures entre les semis et la mi-janvier a contribué à produire de la biomasse, synonyme de développement du nombre d’épis. Ensuite, le mois de mars a offert un fort rayonnement, favorable à la fertilité des épis». Une combinaison de facteurs qui a produit une grande quantité de grains.
Et Luc Pelcé de rappeler que «le nombre de grains contribue pour 85% au rendement final».
Le début du mois de mai, sec et surtout très chaud, a malheureusement marqué un coup d’arrêt à cette belle ascension. En effet, selon l’ingénieur régional «ce coup de chaleur à limité la taille des sacs». Nous n’auront donc pas le record escompté. «C’est dommage, certes, mais cela reste bien». Luc Pelcé s’est dit «plutôt optimiste pour la moisson à venir». Reste à attendre confirmation aux alentours des 26-27 juin, alors que «la maturité physiologique sera terminée et que les rendements seront fixés».