Capserval
Avec l’avenir pour bagage
Après un parcours atypique et brillant, Elodie Goimbault entrera prochainement dans la vie active, après un stage de 3 ans à la coopérative Capserval, dans le cadre de ses études d’ingénieur agricole.
Fille d’un agriculteur de Bussy-le-Repos, élodie Goimbault a un parcours pour le moins atypique, multipliant les années d’étude et les expériences. A 24 ans, pensionnaire du prestigieux Institut polytechnique LaSalle Beauvais, elle vient de passer 3 ans en contrat d’apprentissage, à la coopérative Capserval, dans le cadre de ses études d’ingénieur agricole, spécialisation marketing et développement commercial.
Le Bac en poche en 2008, c’est tout naturellement qu’élodie intègre le lycée agricole du Chesnoy à Montargis, où son père était déjà passé avant elle. Mais c’est finalement le lycée La Brosse qui aura sa préférence, pour un BTS en filière Anabiotec obtenu brillamment 2 ans plus tard, profitant de l’occasion pour effectuer un stage au Muséum d’Histoire Naturelle : «on travaillait sur l’ADN, le code-barres, je trouvais ça très enrichissant, mais c’était l’été et je m’apercevais que j’avais plus envie en fait, d’être dans la moiss-batt avec papa, que derrière ma paillasse avec ma blouse blanche !» A la rentrée suivante, nouvelle trajectoire et nouveau département : «je suis partie en prépa au Legta de Quétigny, une école publique d’ingénieurs, où il y avait un concours C à passer en filière véto…»
Une expérience avortée pour, excusez du peu, intégrer en 2e année le prestigieux Institut LaSalle Beauvais qui propose des formations d’ingénieur en agriculture, agro-alimentaire et environnement. C’est munie de ce cursus, qu’élodie a rejoint l’année suivante, la coopérative Capserval à Gron, pour un contrat d’apprentissage de 3 ans, qui se terminera le 2 octobre prochain, à l’issue de ses études : «intégrer le service développement et qualité de la coopérative, me donnait accès à une branche complémentaire de l’agriculture. Faire tous les maillons de la chaîne, c’est l’objectif de ma carrière…»
«Un métier qui me plait…»
L’époque d’une première phase de découverte des référentiels de la coopérative, dont la filière CRC : «c’était prépondérant que je m’inscrive dans cette démarche, qui est un peu le cœur de la coopérative, pour mieux en comprendre l’objectif et la philosophie…» L’année suivante, on lui confie la charge de mener une enquête de satisfaction auprès des adhérents : «une expérience sympa, permettant de se faire connaître et mettre des noms sur les visages…» Aujourd’hui en mémoire de fin d’études, c’est tout naturellement qu’élodie Goimbault a choisi la filière CRC pour thème de ses travaux , plus précisément : «en quoi les productions différenciées apportent de la compétitivité à l’entreprise ?» Enchaînant pour cela les rencontres avec les acteurs du terrain : «agriculteurs, membres de la coop, meuniers, industriels…, pour recueillir leur opinion, leurs motivations et comment ils voyaient les perspectives d’évolution de la filière…» A l’heure de bilan, élodie ne regrette pas d’avoir choisi une coopérative à taille humaine pour cadre de sa formation, appréciant notamment la polyvalence des taches effectuées : «j’ai touché à tout ! Que ce soit sur la plateforme PSV ou sur la partie agronomie avec les plans de fumure, ainsi que la partie commercialisation au travers des clients…» La jeune étudiante a une idée bien arrêtée de son futur parcours professionnel : «on m’a toujours dit que dans le boulot, il y avait 3 piliers ; l’ambiance générale de la boîte, le salaire et surtout, les missions à effectuer ! Je veux me lever chaque matin en me disant que je fais un métier qui me plait…» Avec toujours à l’esprit un intérêt commun : «il faut que les missions me correspondent, mais correspondent aussi aux besoins de l’entreprise, sinon ça ne sert à rien !» Nul doute qu’avec un tel viatique, Elodie ne tarde à trouver un employeur. Avec en prime dans ses bagages un solide sésame pour l’avenir…
Le Bac en poche en 2008, c’est tout naturellement qu’élodie intègre le lycée agricole du Chesnoy à Montargis, où son père était déjà passé avant elle. Mais c’est finalement le lycée La Brosse qui aura sa préférence, pour un BTS en filière Anabiotec obtenu brillamment 2 ans plus tard, profitant de l’occasion pour effectuer un stage au Muséum d’Histoire Naturelle : «on travaillait sur l’ADN, le code-barres, je trouvais ça très enrichissant, mais c’était l’été et je m’apercevais que j’avais plus envie en fait, d’être dans la moiss-batt avec papa, que derrière ma paillasse avec ma blouse blanche !» A la rentrée suivante, nouvelle trajectoire et nouveau département : «je suis partie en prépa au Legta de Quétigny, une école publique d’ingénieurs, où il y avait un concours C à passer en filière véto…»
Une expérience avortée pour, excusez du peu, intégrer en 2e année le prestigieux Institut LaSalle Beauvais qui propose des formations d’ingénieur en agriculture, agro-alimentaire et environnement. C’est munie de ce cursus, qu’élodie a rejoint l’année suivante, la coopérative Capserval à Gron, pour un contrat d’apprentissage de 3 ans, qui se terminera le 2 octobre prochain, à l’issue de ses études : «intégrer le service développement et qualité de la coopérative, me donnait accès à une branche complémentaire de l’agriculture. Faire tous les maillons de la chaîne, c’est l’objectif de ma carrière…»
«Un métier qui me plait…»
L’époque d’une première phase de découverte des référentiels de la coopérative, dont la filière CRC : «c’était prépondérant que je m’inscrive dans cette démarche, qui est un peu le cœur de la coopérative, pour mieux en comprendre l’objectif et la philosophie…» L’année suivante, on lui confie la charge de mener une enquête de satisfaction auprès des adhérents : «une expérience sympa, permettant de se faire connaître et mettre des noms sur les visages…» Aujourd’hui en mémoire de fin d’études, c’est tout naturellement qu’élodie Goimbault a choisi la filière CRC pour thème de ses travaux , plus précisément : «en quoi les productions différenciées apportent de la compétitivité à l’entreprise ?» Enchaînant pour cela les rencontres avec les acteurs du terrain : «agriculteurs, membres de la coop, meuniers, industriels…, pour recueillir leur opinion, leurs motivations et comment ils voyaient les perspectives d’évolution de la filière…» A l’heure de bilan, élodie ne regrette pas d’avoir choisi une coopérative à taille humaine pour cadre de sa formation, appréciant notamment la polyvalence des taches effectuées : «j’ai touché à tout ! Que ce soit sur la plateforme PSV ou sur la partie agronomie avec les plans de fumure, ainsi que la partie commercialisation au travers des clients…» La jeune étudiante a une idée bien arrêtée de son futur parcours professionnel : «on m’a toujours dit que dans le boulot, il y avait 3 piliers ; l’ambiance générale de la boîte, le salaire et surtout, les missions à effectuer ! Je veux me lever chaque matin en me disant que je fais un métier qui me plait…» Avec toujours à l’esprit un intérêt commun : «il faut que les missions me correspondent, mais correspondent aussi aux besoins de l’entreprise, sinon ça ne sert à rien !» Nul doute qu’avec un tel viatique, Elodie ne tarde à trouver un employeur. Avec en prime dans ses bagages un solide sésame pour l’avenir…