Dijon-Céréales
Avant la moisson, penser l’avenir ensemble
Tracer le bilan de la campagne 2016-2017, à la veille de la moisson, mais aussi porter le regard vers l’agriculture de demain. C’était là l’ambition des quatre rencontres avant-moisson proposées du 12 au 16 juin par Dijon Céréales à ses adhérents.
Une formule nouvelle puisqu’elle associait les traditionnelles réunions d’avant-moisson à la visite d’une plateforme locale Damier Vert. Au total, plus de 350 agriculteurs ont participé à ces Rencontres organisées successivement à Saint-Julien, Sacquenay, Époisses et Villaines-en-Duesmois.
Côté bilan, la récolte 2016, avec des rendements moyens historiquement bas pour les adhérents de Dijon Céréales (47 q/ha en blé, 55 q/ha en escourgeons, 44 q/ha en orges de printemps et 28 q/ha en colza), va déboucher sur une collecte 16-17 à peine au-dessus des 800 000 tonnes, en recul d’environ 20%.
Une campagne à oublier donc, la baisse nette des volumes se doublant d’une qualité dégradée et de ventes et expéditions très difficiles à gérer (export pays tiers quasi inexistants en raison de la qualité, phénomène des basses eaux sur la Moselle et le Rhin). Si on ajoute à cela les prix insuffisants en blé, des marchés toujours aussi dépressifs en orge et une amplitude marquée des cours des colzas, cette campagne 2016-2017 semble avoir cumulé l’ensemble des difficultés imaginables.
Ouvrant des perspectives sur la campagne à venir, Pascal Demay, directeur Terrain et Céréales, a rappelé que la production mondiale s’annonçait en léger recul…mais dans un contexte de stocks mondiaux céréaliers assez chargés (stocks finaux prévisionnels 17-18 estimés à 261 MT en blé).
Ces Rencontres Avant-Moisson se voulaient ouvertes sur l’avenir avec un large chapitre consacré à l’agriculture innovante, pour lequel Frédéric Imbert et Amandine Kihm ont mis en avant le travail mené par Damier Vert. Adaptation au changement climatique, efficience environnementale et compétitivité économique, nécessité d’aller plus vite, toujours plus de qualité pour satisfaire les attentes de la filière…les enjeux sont nombreux et le
service technique de Dijon Céréales s’investit pour accompagner
l’évolution.
Dans les parcelles, des ateliers ont mis en avant l’agriculture de précision et la modulation intra-parcellaire en lien avec le réseau coopératif Be Api, l’agriculture de conservation étudiée dans le cadre régional d’Artemis, les outils d’aide à la décision et de traçabilité avec Atland, les clubs de progrès Pixae et Agro@Eco : Dijon Céréales est sur tous les fronts dans ces domaines, ces Rencontre Avant-Moisson 2017 l’ont bien démontré.
Côté bilan, la récolte 2016, avec des rendements moyens historiquement bas pour les adhérents de Dijon Céréales (47 q/ha en blé, 55 q/ha en escourgeons, 44 q/ha en orges de printemps et 28 q/ha en colza), va déboucher sur une collecte 16-17 à peine au-dessus des 800 000 tonnes, en recul d’environ 20%.
Une campagne à oublier donc, la baisse nette des volumes se doublant d’une qualité dégradée et de ventes et expéditions très difficiles à gérer (export pays tiers quasi inexistants en raison de la qualité, phénomène des basses eaux sur la Moselle et le Rhin). Si on ajoute à cela les prix insuffisants en blé, des marchés toujours aussi dépressifs en orge et une amplitude marquée des cours des colzas, cette campagne 2016-2017 semble avoir cumulé l’ensemble des difficultés imaginables.
Ouvrant des perspectives sur la campagne à venir, Pascal Demay, directeur Terrain et Céréales, a rappelé que la production mondiale s’annonçait en léger recul…mais dans un contexte de stocks mondiaux céréaliers assez chargés (stocks finaux prévisionnels 17-18 estimés à 261 MT en blé).
Ces Rencontres Avant-Moisson se voulaient ouvertes sur l’avenir avec un large chapitre consacré à l’agriculture innovante, pour lequel Frédéric Imbert et Amandine Kihm ont mis en avant le travail mené par Damier Vert. Adaptation au changement climatique, efficience environnementale et compétitivité économique, nécessité d’aller plus vite, toujours plus de qualité pour satisfaire les attentes de la filière…les enjeux sont nombreux et le
service technique de Dijon Céréales s’investit pour accompagner
l’évolution.
Dans les parcelles, des ateliers ont mis en avant l’agriculture de précision et la modulation intra-parcellaire en lien avec le réseau coopératif Be Api, l’agriculture de conservation étudiée dans le cadre régional d’Artemis, les outils d’aide à la décision et de traçabilité avec Atland, les clubs de progrès Pixae et Agro@Eco : Dijon Céréales est sur tous les fronts dans ces domaines, ces Rencontre Avant-Moisson 2017 l’ont bien démontré.
