Salon MécaCéréales le 5 août à Amilly (45)
A vos marques... prêts ? Déchaumez !
Dès la moisson terminée, le déchaumage prépare la prochaine culture. Entre débit de chantier, polyvalence et qualité de travail, le choix de l’outil n’est pas simple. Venez trouver des réponses à MécaCéréales, le 5 Août prochain au lycée agricole du Chesnoy à Amilly (45).
Le meilleur outil déchaumage, voilà une quête complexe. Alors partons de la fin : que voulez-vous faire : Répartir les pailles ? Faire germer des graines d’adventices ? Enfouir des résidus ? Semer un couvert ? Préparer l’horizon de semis de votre colza ?
Selon l’objectif, vous choisirez une profondeur de travail. D’un passage très superficiel dans les deux premiers cas, jusqu’à un travail atteignant les 10 cm et plus dans le dernier cas. Mais, le plus souvent, deux passages et parfois plus seront réalisés, en augmentant la profondeur par paliers.
Depuis quelques années s’ajoute une nouvelle préoccupation : comment implanter les couverts pour les inter-cultures longues? C’est souvent une obligation, mais il faut aller vite et ne pas dépenser trop ! De l’épandage à la volée jusqu’au semis en ligne avec roue de plombage tout existe, mais ne se vaut pas…
On le conçoit de plus en plus, le couvert le plus coûteux n’est pas simplement celui dont la semence est la moins onéreuse : c’est le couvert raté, qui ne lève pas ou peine à atteindre 1 T de matière sèche par hectare. Il faut donc tout mettre en œuvre pour le réussir à une période aussi sèche que la fin d’été.
Les questions se multiplient et une partie de la réponse se trouve immanquablement dans le matériel de déchaumage et de semis de couvert. Comment comparer les outils et savoir lequel sera le plus adapté à votre exploitation, à vos sols et à la traction disponible? Il faut d’abord admettre que si la palette des déchaumeurs et des semoirs de couverts est aussi vaste, c’est avant tout le résultat des nombreux objectifs différents - dont nous avons parlé - et des compromis parfois impossible.
Dans la course au titre du meilleur déchaumeur, c’est le travail attendu qui détermine le podium :
Si l’on démarre par la répartition des pailles, la herse (type «magmum») arrive en tête suivie par les petits disques indépendants et la bèche roulante. Ces deux derniers prennent l’avantage pour la réalisation de faux semis. Suivent alors sur le podium les challengers: le cover-crop, le néo-déchaumeur avec des dents larges (2 ou 3 rangées) et depuis peu les grands disques indépendants. Mais quand la profondeur augmente, lors du deuxième passage, nos challengers prennent l’avantage par leur polyvalence. Enfin quand il s’agit de préparer un lit de semences au-delà de 10 cm les néo-déchaumeurs s’imposent en troquant facilement leurs dents larges pour des modèles plus étroits.
Mais entre les marques, les conceptions et les pièces d’usures, rien ne vaut une comparaison aux champs, en situation réelle avec les commentaires des constructeurs et distributeurs.
C’est pourquoi MécaCéréales le salon professionnel de la filière grande culture vous invite - dès 9H30 le 5 Août prochain au lycée agricole du Chesnoy à Amilly (45) - à l’atelier déchaumage et gestion des couverts.
Selon l’objectif, vous choisirez une profondeur de travail. D’un passage très superficiel dans les deux premiers cas, jusqu’à un travail atteignant les 10 cm et plus dans le dernier cas. Mais, le plus souvent, deux passages et parfois plus seront réalisés, en augmentant la profondeur par paliers.
Depuis quelques années s’ajoute une nouvelle préoccupation : comment implanter les couverts pour les inter-cultures longues? C’est souvent une obligation, mais il faut aller vite et ne pas dépenser trop ! De l’épandage à la volée jusqu’au semis en ligne avec roue de plombage tout existe, mais ne se vaut pas…
On le conçoit de plus en plus, le couvert le plus coûteux n’est pas simplement celui dont la semence est la moins onéreuse : c’est le couvert raté, qui ne lève pas ou peine à atteindre 1 T de matière sèche par hectare. Il faut donc tout mettre en œuvre pour le réussir à une période aussi sèche que la fin d’été.
Les questions se multiplient et une partie de la réponse se trouve immanquablement dans le matériel de déchaumage et de semis de couvert. Comment comparer les outils et savoir lequel sera le plus adapté à votre exploitation, à vos sols et à la traction disponible? Il faut d’abord admettre que si la palette des déchaumeurs et des semoirs de couverts est aussi vaste, c’est avant tout le résultat des nombreux objectifs différents - dont nous avons parlé - et des compromis parfois impossible.
Dans la course au titre du meilleur déchaumeur, c’est le travail attendu qui détermine le podium :
Si l’on démarre par la répartition des pailles, la herse (type «magmum») arrive en tête suivie par les petits disques indépendants et la bèche roulante. Ces deux derniers prennent l’avantage pour la réalisation de faux semis. Suivent alors sur le podium les challengers: le cover-crop, le néo-déchaumeur avec des dents larges (2 ou 3 rangées) et depuis peu les grands disques indépendants. Mais quand la profondeur augmente, lors du deuxième passage, nos challengers prennent l’avantage par leur polyvalence. Enfin quand il s’agit de préparer un lit de semences au-delà de 10 cm les néo-déchaumeurs s’imposent en troquant facilement leurs dents larges pour des modèles plus étroits.
Mais entre les marques, les conceptions et les pièces d’usures, rien ne vaut une comparaison aux champs, en situation réelle avec les commentaires des constructeurs et distributeurs.
C’est pourquoi MécaCéréales le salon professionnel de la filière grande culture vous invite - dès 9H30 le 5 Août prochain au lycée agricole du Chesnoy à Amilly (45) - à l’atelier déchaumage et gestion des couverts.