Journée Pass’installation
34 nouveaux jeunes agriculteurs nivernais aidés pendant 5 ans
Groupama organisait, mercredi 13 novembre à la ferme du Marault, sa traditionnelle journée Pass’installation, dispositif visant à soutenir les jeunes agriculteurs de moins de 35 ans, durant leurs 5 premières années d’activité.
A partir du 1er janvier prochain, ils seront 34 JA à bénéficier de 5 avantages pendant 5 ans. Le premier intérêt, et non des moindres du Pass’installation mis en œuvre par l’assureur mutualiste, c’est pour eux de gagner l’équivalent d’un peu plus d’un an de cotisation pour leurs assurances agricoles. Cette pris en charge des cotisations, dégressive, se monte à 40% la première année, 30% la seconde, 20% la troisième et 10% les deux dernières années. Cette aide s’adresse aussi bien à des structures physiques que morales, la prise en compte de la forme sociétaire étant assurée proportionnellement au nombre de parts détenues par le jeune agriculteur.
Un deuxième avantage consiste en la possibilité d’obtenir 7 jours de Service de remplacement, en une ou plusieurs fois, pour toutes causes, et même jusqu’à 15 jours pour le motif maternité (y compris l’adoption). C’est le fruit d’un partenariat entre Groupama et le Service de remplacement de la Nièvre, service dont le président, Olivier Hoareau, a fait une présentation durant la matinée. Le troisième avantage réside dans une allocation de 200 euros pour l’ouverture d’un compte épargne professionnel ou un contrat agri retraite, le quatrième dans un chèque avantage de 100 euros chez le partenaire Spara et enfin le cinquième dans un diagnostic de l’exploitation offert par Groupama en matière de prévention et de sécurité au travail. Cerise sur le gâteau, chaque jeune présent au Marault la semaine dernière, s’est également vu remettre un extincteur qui lui servira à se prémunir contre l’incendie.
Prévention contre l’incendie
Des témoignages vidéo diffusés durant la matinée, du quizz interactif avec une zapette et un diaporama sur le modèle du code de la route, de l’intervention d’Hervé Dubrozet, l’un des 17 conseillers en prévention de Groupama Rhône-Alpes Auvergne, les jeunes, attentifs, auront retenu quelques enseignements pratiques à mettre en œuvre contre le risque d’incendie. C’est devenu le cheval de bataille de l’assureur, qui a eu à déplorer un certain nombre de sinistres, parfois spectaculaires, au cours de l’année écoulée. «Heureusement, dans la Nièvre, il n’y a pas eu de gros incendie mais nous préférons de loin prévenir que répondre aux dégâts et au traumatisme que cause le feu chez un exploitant agricole» précisait Patrick Seguin, le président de la Fédération départementale des caisses locales de Groupama dans le département. Le préventeur et ses collègues, qui veulent «tout faire pour éviter et anticiper le sinistre, aux conséquences pécuniaires et morales catastrophiques pour l’exploitant comme pour son assureur», assurent 2 000 missions de diagnostic et des animations locales chaque année sur les 13 départements du ressort de la caisse régionale.
Et, en faisant le tour des exploitations, en mesurant l’organisation du travail, en évaluant les dangers sur les structures, ils identifient, outre le stockage phyto et le danger de pollution, «le risque majeur pour nous» que représente la menace d’incendie. En agriculture, trois causes principales sont récurrentes : l’installation électrique inadaptée ou défaillante, les travaux mécanisés (meuleuse, poste à souder, automoteurs...) à proximité des fourrages et l’embrasement de ces derniers quand le temps de séchage a été insuffisant et que la fermentation a commencé... Un risque que «chacun trouve son compte à maîtriser le mieux possible» a conclu Patrick Seguin.
Un deuxième avantage consiste en la possibilité d’obtenir 7 jours de Service de remplacement, en une ou plusieurs fois, pour toutes causes, et même jusqu’à 15 jours pour le motif maternité (y compris l’adoption). C’est le fruit d’un partenariat entre Groupama et le Service de remplacement de la Nièvre, service dont le président, Olivier Hoareau, a fait une présentation durant la matinée. Le troisième avantage réside dans une allocation de 200 euros pour l’ouverture d’un compte épargne professionnel ou un contrat agri retraite, le quatrième dans un chèque avantage de 100 euros chez le partenaire Spara et enfin le cinquième dans un diagnostic de l’exploitation offert par Groupama en matière de prévention et de sécurité au travail. Cerise sur le gâteau, chaque jeune présent au Marault la semaine dernière, s’est également vu remettre un extincteur qui lui servira à se prémunir contre l’incendie.
Prévention contre l’incendie
Des témoignages vidéo diffusés durant la matinée, du quizz interactif avec une zapette et un diaporama sur le modèle du code de la route, de l’intervention d’Hervé Dubrozet, l’un des 17 conseillers en prévention de Groupama Rhône-Alpes Auvergne, les jeunes, attentifs, auront retenu quelques enseignements pratiques à mettre en œuvre contre le risque d’incendie. C’est devenu le cheval de bataille de l’assureur, qui a eu à déplorer un certain nombre de sinistres, parfois spectaculaires, au cours de l’année écoulée. «Heureusement, dans la Nièvre, il n’y a pas eu de gros incendie mais nous préférons de loin prévenir que répondre aux dégâts et au traumatisme que cause le feu chez un exploitant agricole» précisait Patrick Seguin, le président de la Fédération départementale des caisses locales de Groupama dans le département. Le préventeur et ses collègues, qui veulent «tout faire pour éviter et anticiper le sinistre, aux conséquences pécuniaires et morales catastrophiques pour l’exploitant comme pour son assureur», assurent 2 000 missions de diagnostic et des animations locales chaque année sur les 13 départements du ressort de la caisse régionale.
Et, en faisant le tour des exploitations, en mesurant l’organisation du travail, en évaluant les dangers sur les structures, ils identifient, outre le stockage phyto et le danger de pollution, «le risque majeur pour nous» que représente la menace d’incendie. En agriculture, trois causes principales sont récurrentes : l’installation électrique inadaptée ou défaillante, les travaux mécanisés (meuleuse, poste à souder, automoteurs...) à proximité des fourrages et l’embrasement de ces derniers quand le temps de séchage a été insuffisant et que la fermentation a commencé... Un risque que «chacun trouve son compte à maîtriser le mieux possible» a conclu Patrick Seguin.
