Chambre d'agriculture
Marianne Ranque, nouvelle conseillère élevage

Christopher Levé
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Après un peu plus de sept années passées à la FDSEA de l’Yonne en tant qu’animatrice production animale, Marianne Ranque a pris le chemin de la Chambre d’agriculture de l’Yonne. Elle occupe, depuis le mercredi 16 mars, la fonction de conseillère élevage.

Chambre d'agriculture
Marianne Ranque est la nouvelle conseillère élevage de la Chambre d'agriculture de l'Yonne.

Originaire de la Loire, Marianne Ranque travaille au contrôle laitier de ce département avant d’occuper un poste à la Draaf de Rhône-Alpes, puis à celle de Bourgogne. Elle fait ensuite un passage au CerFrance de Saône-et-Loire puis s’envole pour l’Yonne en 2014.
Titulaire d’un diplôme d’ingénieure agronome, elle effectue un stage de six mois de fin d’étude, à la Chambre d’agriculture de l’Yonne, où elle travaille sur le sujet du captage de Brienon/Armançon.
En septembre de la même année, elle arrive à la FDSEA de l’Yonne en tant qu’animatrice production animale. Un poste qu’elle occupe pendant sept ans et demi, avant de prendre, une nouvelle fois, la direction de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, en tant que conseillère élevage.

Faire le lien entre la Chambre et Alysé

Arrivée le mercredi 16 mars, Marianne Ranque est en charge d’accompagner les éleveurs sur la partie stratégique et innovation. « Je vais également organiser des formations avec les éleveurs, en collaboration avec Alysé. Le but de ce poste est de faire le lien entre la Chambre d’agriculture et la coopérative dans le cadre du contrat d’objectif signé entre les deux structures », ajoute la nouvelle conseillère élevage de la Chambre. Cette dernière a aussi pour mission de développer la filière ovine.
Quant à ses objectifs ? « C’est essayer de maintenir une dynamique d’élevage dans le département et d’accompagner les éleveurs dans la transition du changement climatique », explique-t-elle. « Le premier gros dossier sur lequel je travaille concerne le bien-être animal. Mon but est d’aider les agriculteurs à communiquer sur leurs bonnes pratiques et capitaliser dessus. Je vais également rapidement animer des collectifs d’éleveurs », conclut Marianne Ranque.