Les vœux des présidents
2018: «L’envie d’avoir envie»
L’année 2017 se termine par la clôture des États Généraux de l’Alimentation (EGA).
Les commentateurs voient une victoire de la FNSEA, capable de dicter sa vision de l’avenir au ministère de l’Agriculture, et au passage, de révéler les humeurs du ministre de l’Environnement. C’est idéaliser la FNSEA.
Certains agriculteurs sont quant à eux plutôt sceptiques quant à la réalité de l’influence de la FNSEA, et quant à l’utilité des EGA. C’est sous-estimer la FNSEA.
Et chaque jour de l’année, notre quotidien, élus et collaborateurs de la FDSEA est de naviguer entre ces deux eaux de la bouteille perçue comme moitié pleine ou comme moitié vide selon le point de vue de celui qui la regarde.
Alors pour 2018, j’exprime le vœu que nous trouvions ensemble «l’envie d’avoir envie» de renforcer notre action collective. Laissons-nous entraîner par l’optimisme, pas un optimisme béat, mais un optimisme de combat.
L’optimisme de ceux qui sont dans l’action, qui sont en capacité de mesurer les progrès, le chemin parcouru. Chacun sait bien au fond de lui-même que tous les problèmes ne se règlent pas dans la cour de ferme.
Dans la cour de ferme, on encaisse, on s’adapte, quand on le peut. On ne s’adapte pas toujours à tout... En dehors de la cour de ferme, on cherche à intervenir sur l’origine des choix et des politiques agricoles.
Et si nous ne nous occupons pas de ces politiques, ces politiques s’occuperont de nous.
La liberté n’est pas donnée, elle se gagne ! Que 2018 puisse être une année du recul du chacun pour soi, parce que le chacun pour soi, c’est la mort de tous !
Bonne année à vous et vos familles, réussite dans vos entreprises, vos projets et vos engagements !
Certains agriculteurs sont quant à eux plutôt sceptiques quant à la réalité de l’influence de la FNSEA, et quant à l’utilité des EGA. C’est sous-estimer la FNSEA.
Et chaque jour de l’année, notre quotidien, élus et collaborateurs de la FDSEA est de naviguer entre ces deux eaux de la bouteille perçue comme moitié pleine ou comme moitié vide selon le point de vue de celui qui la regarde.
Alors pour 2018, j’exprime le vœu que nous trouvions ensemble «l’envie d’avoir envie» de renforcer notre action collective. Laissons-nous entraîner par l’optimisme, pas un optimisme béat, mais un optimisme de combat.
L’optimisme de ceux qui sont dans l’action, qui sont en capacité de mesurer les progrès, le chemin parcouru. Chacun sait bien au fond de lui-même que tous les problèmes ne se règlent pas dans la cour de ferme.
Dans la cour de ferme, on encaisse, on s’adapte, quand on le peut. On ne s’adapte pas toujours à tout... En dehors de la cour de ferme, on cherche à intervenir sur l’origine des choix et des politiques agricoles.
Et si nous ne nous occupons pas de ces politiques, ces politiques s’occuperont de nous.
La liberté n’est pas donnée, elle se gagne ! Que 2018 puisse être une année du recul du chacun pour soi, parce que le chacun pour soi, c’est la mort de tous !
Bonne année à vous et vos familles, réussite dans vos entreprises, vos projets et vos engagements !
